Le surfeur irlandais Garrett McNamara a battu un record du monde en surfant la plus grosse vague. Elle muserait 27 mètres !
Le surfeur irlandais Garrett McNamara a battu un record du monde en surfant la plus grosse vague. Elle muserait 27 mètres !
Cela faisait longtemps, au fil des écritures.
Ma plume au garde-à-vous, attentive et docile,
Plongeait, obéissante, son fin bec de métal
Dans l'encrier de verre et, sans fioritures,
Calligraphiait les rimes que mon âme fertile
Composait sous l'emprise d'une ardeur lexicale.
Et j'aimais le contact si charnel du papier.
Un soir, l'encre manqua. C'est un simple stylo
Qui a fini ma page. Quel outil confortable !
Munie d'un calepin, j'écrivais à mon gré
Le moindre sentiment, le vers à peine éclôt.
Je n'avais nul besoin d'être assise à ma table.
Puis surgit le PC, moderne, et si pratique :
Un écran, un clavier, une souris… le bonheur.
Mes ratures annulées, mes mots bien corrigés.
Tout devenait plus simple avec l'informatique !
Désormais l'avantage est à l'ordinateur
Même si, parfois encore, je noircis des feuillets.
Nina merci pour ce partage
MERCI A NINA POUR CE PARTAGE
Où sont passés les mots qui s'abandonnent
Tristes, gais ou monotones,
Quand le fil de la vie ne me fait plus envie?
Vers quel chemin s'en va la source de mes pensées,
Quand la soirée s'achève triste et glacée
Sur ce jour où je t'ai abandonnée
Là, sur le gazon souillé par la pluie.
Toi qui aimais tant la vie et le soleil qui brille?
Ou s'en vont mes émotions qui te demandent “pardon”,
De ne pas avoir assez parlé avec toi des fleurs
Et du bonheur qui dort sous les arbres dorés?
De ces instants parfumés de ta présence,
Toi qui brisais toujours le silence
Qui trop souvent envahissait ma vie.
Où dorment donc ces mots?
Partent-ils au fil de l'eau
Avec le vent léger ?
Dansent-ils dans le grenier de mon coeur
En attendant des jours meilleurs?
Je ne sais mon amie, ma sœur
Tu ne m'entends plus je sais.
Mais si ce calme qui te berce
Pouvait bousculer ces émotions qui me blessent,
Je crierai au monde entier
Que j'ai besoin de toi à mes côtés.
As-tu emporté les mots qui font que mon être
Gémit de ne plus rien paraître?
Suis-je transparente?
Suis-je en attente?
Je n'ai plus de repère
En ce jour où se perd
Mon chemin de misère.
Et renaît enfin un mot nouveau
Quand j'entends d'Albinoni l'Adagio.
Douce musique qui s'empare de mon corps.
Lui, qui tout en désaccord
Cherche un nouveau décor.
Ces notes, unes à unes me soufflent que tu dors
Dans le feu de l'aurore.
Et une larme incertaine
Se perd au bord de ma peine
Qui se languit déjà de toi.
Qu'il est lourd à porter
Ce départ pourtant partagé.
Qu'elle est lourde à porter
Cette absence si prolongée!
Dors mon amie
Dors ma sœur!
Chamade
A un moment donné,
peut être qu'on finit par accepter
que le rêve est devenu un cauchemar ...
On essaye de se dire que la réalité
vaut mieux que le rêve,
On se persuade qu'il vaut mieux ne pas rêver du tout...
Mais les plus solides d'entre nous,
les plus déterminés.
..
s'accrochent à leur rêves.
Un jour on se réveille
,
et contre toute attente,
l'espoir renaît !
& avec un peu de chance
,
on se rend compte,
en affrontant les événements, en affrontant la vie,
Que le véritable rêve, c'est d'être encore capable de rêver
Mon amie Sihem