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Belle hirondelle ! Gente demoiselle sur vent alizé
Tu te laisses planer du haut du ciel
On aperçoit une belle hirondelle de grâce et de charme
Elle nous fait verser une larme, tantôt elle se fait belle
Toujours elle nous émerveille du déploiement de ses ailes
On ressent une chaleur sans pareille.
Belle hirondelle ; Gente demoiselle, bourrasque de la vie
Tu virevoltes à l'infini !Tant de liberté dans tes mouvements
Ta ligne d'horizon est la mer,
Ta limite n'est autre que le firmament
Qui sans fin, du regard, te nourrie d'une vie emplie de sérénité
Ô combien la vie est éphémère il ne nous reste,
Que pour grande rêverie,
Que de voler à tout azimut, sans contrée.
Belle hirondelle ; Gente demoiselle
Un vent du sud te portes en ces temps si rude
Que chaque battement d'aile,
Belle hirondelle, gente demoiselle, t'apportes un espoir nouveau
Et du confins de mon pays si lointain
Je souffle un vent d'agrément pour que toujours le bruissement
de tes plumes soit porté en écho.
En ce jour, enfin reconnues comme des êtres à part entière, malheureusement
vos droits sont encore si souvent bafoués par des idéaux dépassés.
Remuez vous Femmes et Mère ce n’est que de vous que viendrons des réquisitoires bien plus tolérés.
La partie n'est pas gagnée, je pense à celle qui sera lapidé, ( à sa place vous pourriez être
Y avez-vous déjà pensé ?) Par des religions désuètes, qui font de vos sœurs des squelettes,
Pour avoir eu le courage d’aimer sans en avoir demandé la permission à ses pères.
Vont venir avec des pierres pour vous faire trépasser.
Ces Hommes si courageux, gardien de la moralité dans leur société
Ont ‘ils une fois, rien qu’une, en pensée mis la tête de leur mère
Dans ce trou de suppliciée, et jeté les premiers, les pierres lapidaires !!
Pourtant, ils succombent à vos charmes, (pardon j’oubliais qu’ils en ont le droit)
Vos talents reconnus, à juste titre bien entendu ! Il leur reste à reconnaître
Qu’un enfant c’est à deux qu’on le fait ! Jamais facture à l’homme fut présentée !
Par les hommes les lois sont faites, pas toujours bien utilisées, je dirais même accommodées.
Votre féminité est synonyme d’impureté, comment celle de leur mère est elle appelée ?
Car enfin sans leur mère et leur père, ils ne seraient pas là à vous juger ;
Ces hommes si purs ! Qu’ils se sont arrogés le droit de vous condamner !
Qu’ont ‘ils dans les yeux pour ne pas voir que sans vous la vie serait un leurre !
En vous tendresse et douceur, font palpiter tous les cœurs sincères en amour et en vérité !
Joyeuses, courageuse, et surtout naïves, nous donnant leurs plus belles années ;
Leurs fils, vos fils, Au nom de la patrie les vous les confient sachant au fond
Qu’ils leurs seront rendus, dans une boite de chaire à pâté mais leur devoir,
Elles, elles savent ce que c’est ! elles ne se cachent pas comme vous derrière des lois tellement dépassées,
Que je doute d’un jour elles aient existées, exactement sommes vous, vous les appliquez !
Oser dans les yeux me regarder, et me jurer que la loi pour tous est respectée !
Que vous les Hommes jamais vous n’avez fauté ! En mon âme et conscience,
En face je vous le dis ; vous ne méritez pas d’être appelés des hommes, le nom de chacal
Vous habille bien mieux. Charognard, complexés, jaloux de n’être pas une de ces mères courage.
Qui en intelligence et en toute humilité vous ont, et depuis toujours, largement dépassés.
Allez Messieurs les demeurés, vous avez jugé ! Tirez donc les premiers !
Mais avant regarder bien en face celle que vous aller lapider, et mettez-lui une âme, un autre visage, de préférence
Un visage aimé et respecté ! Pensez que votre mère n’est certainement pas fière de ce que vous faites !
Mais chut ! Chez vous il est vrai, les femmes ne sont que des objets, Alors, pardon d’avoir osé vous déranger
Dans votre cruauté voilée par des textes faits par les pères de vos pères, mais si anciens, enfin s’ils sont trouvés ;
Qu’en poussière il y a longtemps ils se sont transformés ! Et vous les femmes qui n’avez rien à vous reprocher,
Qu’attendez-vous pour boycotter ces atteintes à la vie et à votre liberté d’aimer, et d’exister. Agissez, mais vite, agissez !!
En tous cas, mes écrits je les signe des deux mains sur le clavier.
Une femme, mère et grand-mère par tous respectée, comme dans tous les pays où vos cruelles façons de condamner, sont dépassées depuis des milliers d’années !
Pour Amina lynchée par les siens, pour avoir trop aimé et surtout enfanté de cet amour caché !
Sachez que, l’enfant qu’elle a enfantée, est une fille est que la vie sera celle que la grand-mère, son grand père auront choisi pour elle, sinon,
Elle sera lynchée, par les plus acharnés, les siens, comme sa mère.
Nous n’avons rie pu faire, à Amnistie Internationale, et si j’avais pu y aller je me serai mise à ses côtés, moi Camille SIBILLE ,
qui me bat pour la liberté de choix des femmes et ceci dans le monde entier.
Envoles toi douce Amina saches qu’au moins, nous, nous continuons le combat
Camille pour amesty internationale en 2004
Penser à un amie et ne pas l'oublier
C'est sentir son parfum sans même le connaître
C'est croire à son destin et espérer plus fort
C'est suivre son chemin en espérant encore.
Avoir besoin d’elle l'aimer à chaque instant
Que ce besoin d’elle revienne plus souvent
Un désir, une envie de lui donner encore
Et pour toute la vie son âme et son corps.
Si toi tu l'aimes ainsi Il faudra le lui dire !
Pour ne pas qu'elle oublie et pour la faire frémir
La couvrir de tendresse dans le but qu’elle devienne
Un peu plus amoureuse, chaque jour et bien c'est ça l'amour !
Camille
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merci a vous toutes et tous pour le petit mot mis a ma soeur si éprouvée a nouveau dans sa chair le départ de pascal qui était mon filleul me fait terriblement mal je t'aime trés fort ma soeur et on n'oublieras pas ce grand dadais et a toi mon pascal qui est parti rejoindre tous ceux que nous avons aimé sur cette terre embrasse les pour nous
Marie Héléne sa grande soeur
Mon fils est parti rejoindre son petit frére ce soir a 19h; une 6éme embolie l'a emporté.
Je ne serai pas trés présente jusque mercredi jour de son incinération.
Pour celles qui savent prier, une petite pensée pour ce grand gaillard, ce géant introverti qui ne savait pas dire je t'aime mais qui me le montrait. Il avait disparu de ma vie pendant 8 ans aprés le décès de son frére, et il est revenu mourir prés de moi.
Que son âme repose en paix, il ne souffre plus
Camille
Hier encore des mots plein la tête
Pour mes rimes pas besoin de quête
Je ne sais pourquoi tout est changé
C’est le grand vide je n’ai plus d’idée
Pleine d’inspiration à l’aube tous les jours
Ma mémoire fuyante me joue vilain tour
Je trouvais une idée dans mes tiroirs
Mes tiroirs du cerveau pleins d’histoires
Mon cerveau est vide que du brouillard
Je n’y vois plus rien il y fait trop noir
Et j’ai beau y puiser jusque dans le fond
Pas une consonne pour donner le ton
J’avais fait réserve de bien jolis mots
Pour écrire des vers en forme de prose
Ma mémoire flanche pour tapouiller
Avec mes doigts sur mon beau clavier
Je ne me souviens plus comment écrire
Et pourtant j’arrive à tout vous le dire
Consonnes et voyelles tout se bouscule
Tout est enfermé dans une grosse bulle
Je vais poser là mon crâne souffrant
En attendant que vienne le moment
Où je saurai sous un jour nouveau
Refaire mes rimes avec de jolis mots
Je vais devoir recharger mes batteries
A l’encre de mon cœur pour ma poésie
Elle seront alors plus belles mes strophes
Car en cet instant elles sont catastrophes
Mise en instance mais ce jour viendra
J’aurai fait le plein de mon cerveau plat
Pour le moment tout écrit me choque
Mes mots sont ce jour en rupture de stock
Tiens ! Je me rends compte en vous disant çà
Que j’ai bien écrit tous mes mots sont là
Alors tout va bien je ne m’inquiète plus
Consonnes où voyelles je n’ai rien perdu
Septembre aubade des fresques
Pommiers argentés et de fruits colorés
Sous un ciel bleu, des oies blanches épinglées
Dans une nature s’embellissant d’arabesques
Par une vive éclosion de couleurs
De par ses effluves et ses saveurs
Balade sous le charme en voiture tractée
Septembre, un air innocent et agité
De ses panoramas flamboyants
Les arbres montent la garde
Sur les atouts de ses couleurs excitantes
Une proéminence aux allures étincelantes
Des milliers d’oies dans le vent
Font procession sur le fleuve Saint-Laurent
Préparant bagages pour un départ venu
Vers les côtes américaines et ses avenues
Les sites d’observation se font avertisseurs
La nature rassemble une dernière fois ses forces vives
Une explosion de couleurs monte la garde sur les monts ivres
Septembre aux mille couleurs pour notre grand bonheur.
Renée Dumais
Aujourd'hui, je me fais un arbre un peu original.
À la place des belles feuilles colorées je suspends
les noms de Chacun-Chacune d'entre Vous !
Les personnes qui sont loin, et celles qui sont plus près.
Les personnes de tous les jours et celles de quelques occasions.
Les personnes des moments joyeux et celles des heures tristes.
Celles qui, avant, n'étaient pas là... et qui le sont maintenant.
Je suspends le nom de celui celle qui vient souvent
ou occasionnellement, me faire l'honneur de sa visite.
Seigneur, fais que les branches de mon arbre s'étendent pour accueillir
des amis(es) de partout dans le monde.
Que ses racines soient profondes, afin de résister au vent et aux coups durs de la vie. Fais que mon arbre s'élève vers le ciel, fort et courageux.
Une douce pensée pour toi !