|
Sait-on jamais, ce que demain sera Et comme disait Mr Gabin: Encore un grand Monsieur On sait qu'on ne sais jamais! |
Camillou en blonde
Être ou demeurer jeune
|
Qui ne rêve pas de paraître jeune |
3 SOEURS
par Camille
Trois soeurs sur un radeau
Ce n’était pas de leur faute c’était comme on dit de naissance
Chacune à sa manière a toujours gardé la tête hors de l’eau
Pourtant leur vie ne fut pas une promenade de vacances
Elles la portèrent haut et fière leur vie sur leur radeau
Aucune des trois n’avait la même vie, juste sorties du même ventre.
Souvent elles se perdirent de vue mais jamais dans l’indifférence
Elles étaient soudées par cette naissance qui n’était pas un cadeau
Pas pour elles certes, mais pour celle qui leur donna naissance
Pour elle, la naissance de son « plus au monde » était un cadeau.
Trois sœurs sur un radeau, celui de l’indifférence
Celle d’une mère : Juste pour un fils pour lequel rien n’était trop beau
Qu’importe Maritch, Camillou et Cricri ont eu beaucoup de chance
Les 3 sœurs restèrent soudées par leur amour de sœurs si beau.
C’était devenu sans importance ce manque de tendresse de l’inconsciente
Elles avaient compris à l’automne de leur vie qu’elles étaient sur le même radeau
La tendresse qu’elles n’avaient pas eue, elles l’ont donné à leur descendance
Malgré leurs vies tellement différentes, elles s’aiment, et se tiennent chaud.
Depuis il ne reste que 2 soeurs qui se tiennent toujours bien chaud Cricri et Camillou
Camillou
A mon tendre mari qui malgré ses 79 ans est toujours identique qu"à ses 60 ans quand je l'ai rencontré, aimé,admiré,respecté.Qui me supporte, et me porte moralement.
Mon amour si tu savais comme je t'aime et ccomme je voudrai encore me lever tous les matins après une bonne et longue nuit,et faire des projets Me maladies tu les vies qutant que moi, pardonne moi
Ton petit coeur au travers des mots de Francis LaLanne
Un matin, nomade se porte le regard sur le monde
Se perd dans les dessins du vent
Se voile pour un moment
Par le châle rouge qui couvre mes mots
Un matin, au croisé de nos destinées
Vos yeux, monsieur, obstinés
M’ont pris dans la tourmente houleuse
Des vagues de l’azur réprimé
Entre deux paupières ou se tracent des rides
Une mer sur une terre timide
Et des prunelles qui cherchent l’inconnu
Vers l’horizon chevillent perdues
Vos yeux monsieur m’ignoraient
Moi et l’émoi qui m’entourait
Et ma voix qui pensait vous murmurer
Quelques chapitres de la vie
La fin de l’histoire de la rose
Et ce temps qui ose
Éparpiller mes feuilles et mes proses
Sur le chemin de non retour
Ou se croisent nos âmes moroses
Ou il pleut sans cesse sur nos yeux …
Monsieur……
Vos yeux ne me trouvaient guère
Le train a sifflé la fin du chemin
Et voilà que disparait la mer
L’azur des vagues et vos soupirs
Vous partiez, se crispa ma chair
Et le cœur pour vous osa gémir
Et voilà la cadence des pas
Le châle rouge déchirait le vent
S’éloigna la raison
Dans le bruissement des arbres
S’éloigna ton ombre
Entre ces êtres en marbre
Ce matin Monsieur...
Au croisé de nos destinées
Je revois vos yeux, l’azur obstiné
Vous prenez une place à coté de mon âme
Se rompe la glace par une seule flamme
Et revient la rose d’un lointain printemps
La quiétude du chemin
le sourire d’un enfant….
Sihem
Novembre 2012
Tu as tué tous nos rêves et notre amour,
Marchant sur mon cœur et oubliant qui je suis,
Assombrissant mon espoir de jour en jour
Par une cruelle lame qui scie dans la nuit.
Mon amour était un chef-d’œuvre de mon cœur,
Teinté de chaudes couleurs et de lumières,
Mais tu y as semé la pire affreuse peur,
Avec les mensonges d'une âme sans prières.
Pour t'oublier, j'ai bu quelques verres d'absinthe,
Puis, j'ai arraché mon cœur de ma poitrine,
Pour que tu sois néant sur une voie éteinte,
Et pour ne plus me sentir trahie et chagrine.
©Fathia Nasr
QUAND LA COLOMBE DE LA PAIX
Quand la Colombe de la paix
Se posera sur notre terre
En perçant le nuage épais
Qu’auront fait les feux de la guerre !
Lorsque enfin nos cœurs s’ouvriront
Qu’il suffira d’un sourire !
Pour disperser le mal, l’affront
Dans un monde qui se déchire.
Alors nous pourrons vivre Heureux
Entourés de chaleur humaine
Et voir s’épanouir nos vœux
Lorsque l’Amour vaincra la Haine !!
Quand la Colombe de la paix
Se posera sur cette terre
Nous n’échangerons PLUS JAMAIS
Notre BONHEUR contre la GUERRE
Le chemin du bonheur
Si tu existais vraiment, je saurais te trouver,
Je te verrais clairement dans la cour des ombres,
Je te devinerais dans les nuits les plus sombres,
Dans les ténèbres où je pourrais te sauver.
Si tu existais vraiment, je pourrais t’entendre,
T’entendre même si tu es au fond de l'enfer,
Te sentir gémir de douleur dans ta prison de fer,
Dans ce triste monde où la chair est cendre.
Si tu existais vraiment, je saurais te reconnaître
Au milieu des hommes et de mes premiers bergers,
Désormais, je reste inerte tel les vieux rochers,
Méditer sur ce qui pourrait me faire renaître.
© Fathia Nasr