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21 octobre 2011 5 21 /10 /octobre /2011 10:37

 

C'est jeune garçon qui explique à ses potes ce que son

Grand-père lui raconte du "bon vieux temps" ..

  

Quand j'étais pitit, ma maman me donnait 6,50 F (1 euro actuel) et j'allais à l'ipicerie du coin d'où je revenais avec :
 
- une livre di beurre,
 
- un litre di lait,
 
- 3 Kg di pommes di terre,
 
- une livre di fromage,
 
- 2 Kg de saucisses,

 - un sac di thé,
 
- une livre di suc,
 
-  du pain i di zœufs !


Mais maintenant c'est plus possible .................   

 avec toutes ces caméras di surveillance!!

 

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20 octobre 2011 4 20 /10 /octobre /2011 17:29


 

 

 

presentationoiseau

 

 

Seigneur-Jésus que je ne veux

pas m'éloigner de toi pour rien au monde.

Prends mon cœur, je te l'offre avec tout mon amour.


Seigneur-Jésus bénis en ce jour tous ceux
 
qui souffrent.

 qui ont peine à avancer dans la vie

et donne-leur le courage de remonter la pente! 

Tu es source de lumière, sois notre lumière

chaque jour de notre vie.

Merci pour ta grande bonté et ton amour sans fin!

Ton enfant

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Camille

 

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19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 11:15

 

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Il y a de cela très très longtemps, vivait au Maroc au cœur de l'Atlas une jeune fille nommait Tislit. Tislit était belle, vive et souriante.

En secret, elle aimait Isli un grand jeune homme d'une tribu voisine. Isli, de son côté, avait rencontré qu'une seule fois Tislit mais, depuis cet instant, son cœur ne battait que pour elle.

Un jour, un jour Tislit avoua à sa mère son amour pour Isli. Sa mère écouta puis en parla un peu plus tard à son mari. Ce même jour, dans le village voisin, Isli expliquait à son père qu'il souhaitait épouser Tislit mais, ni les parents de Isli ni ceux de Tislit n'acceptèrent cette union.

A cette époque tu sais, seuls les parents pouvaient choisir pour leur enfant, celui ou celle qui deviendrait son mari ou sa femme.

Tislit et Isli se retrouvèrent en cachette ce soir-là sur une petite colline située entre les deux villages. Tislit pleurait déjà en arrivant auprès de celui qu’elle aimait. En la voyant ainsi désespérée et sachant très bien que rien ne pourrait faire changer la décision de leurs parents, Isli éclata en sanglots. Les deux jeunes gens pleuraient en silence tout en se regardant, leurs larmes coulèrent, intarissables, toute la nuit...

 

Ainsi Leurs larmes ont créé les deux lacs, Isli et Tislit, les deux prénoms des deux amoureux...

fATHIA copyright


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19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 11:01

On peut vivre sans richesse mais pas sans tendresse, c'est de moi et je signe

camille00 (1)

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19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 08:43

JE SUIS A LA RECHERCHE DE 2 BONNETS DE NUITS TRICOTES MAIN AVEC UN ELASTIQUE AU BORD POUR LE MAINTENIR

OU AU CROCHET. POUR VOTRE TRAVAIL VOUS CHOISISSEZ LES BIJOUX QUI VOUS PLAISENT à moins que vous préférez de l'argent, celui ci fait 21€ mais je n'aime pas la dentelle qui se roule

JE VAIS EN REMETTRE!

A vos  aiguilles et crochets et merci d'avance152TA140702.gif

Camille

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18 octobre 2011 2 18 /10 /octobre /2011 18:33

 

 

                                                                                                                              3676927376_fa2d6a209d.jpg

 

La pluie est là, un temps d’hiver

La vie défile un fait divers

Le monde palpite, le cœur crépite

Ton image jamais elle quitte

Les yeux qui rodent un peu partout

Qui te cherche dans ces visages

Anéantis et perdus

 

Sous la toile revient l’image

Les mots dorés, les dérapages

Les prières du ciel et les sourates

Les rires de miel, nos belles parades

Les danses rimées d’un papillon

L’histoire aimée de cendrillon

Les vers d’Eluard, Victor Hugo

Nizar , Darouiche et n’oublions ..

Tout les rêves qu’on a dressés

Sur ce chemin ou la rosée

A fait briller tout les matins

Et maquiller peur et chagrin

 

 

La pluie est là, il fait nuit

Une corde du ciel, quel ennui

L’oiseau perdu sur mon balcon

Me regarde l’aile cassée

Je vois en lui mon papillon

L’étoile filante est passée

Je ferme les yeux, orage amer

Des vagues m’emportent en outre mer

 

Sihem

30 /09 / 2011

 

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17 octobre 2011 1 17 /10 /octobre /2011 18:09

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17 octobre 2011 1 17 /10 /octobre /2011 08:56

 

    

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Il est né enfant sauvage

Chantant avec les abeilles

Mangeant des fruits vermeils

Il est né enfant triste

Traînant sa mélancolie

 

Il mettait des larmes

Et des bateaux de liège

Dans le creux de ses mains

Pour les voir naviguer

 

Il mettait des oiseaux de papier

Dans le creux de ses mains

Qu’il jetait au ciel

Pour les voir s’envoler

 

Il portait son cœur en bandoulière

Il battait fort sur sa poitrine

Aux caresses des filles

Et aux baisers volés

 

Il était un enfant sombre

Qui brisait les réverbères

Pour en voler la lumière

 

Il était un enfant triste

Un vagabond d’espoirs

En quête d’un peu d’amour.

 

Merci pour ce beau poème Copyright

camille%20chapeau   

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17 octobre 2011 1 17 /10 /octobre /2011 08:55

Lettre ouverte à tous les parents méchants.


Lettre ouverte à tous les parents méchants.
Par un Neuropsychologue


Un jour, quand mes enfants seront assez vieux, pour comprendre la logique qui motive un parent, je vais leur dire, comme mes parents méchants m'ont dit:
Je t'ai aimé assez pour te demander où tu allais, avec qui, et quand tu serais de
retour à la maison...
Je t'ai aimé assez pour être patiente jusqu'à ce que tu découvres que ta nouvelle meilleure amie ou ton grand copain, n'était pas fréquentable....
Je t'ai aimé assez pour me tenir plantée là dans le cadre de porte pendant deux
heures tandis que tu nettoyais ta chambre, une affaire de 15 minutes en principe !
Je t'ai aimé assez pour te laisser voir la colère, la déception et les larmes dans mes yeux. Les enfants doivent apprendre que leurs parents ne sont pas parfaits.
Je t'ai aimé assez pour te laisser assumer la responsabilité de tes actions même lorsque les pénalités étaient si dures qu'elles ont presque brisé mon coeur.
Mais surtout,
Je t'ai aimé assez pour dire NON même quand je savais que tu me détesterais
pour ça. Telles étaient les batailles les plus difficiles de toutes. Je suis heureuse de les avoir gagnées, parce qu'à la fin, tu y as gagné aussi. Et un jour, quand tes enfants seront assez vieux pour comprendre la logique qui motive des parents «méchants», tu leur diras :
Vos parents étaient ils méchants?
Les miens l'étaient
J'ai eu les parents les plus méchants du monde entier ! Pendant que d'autres
enfants mangeaient des sucreries pour les repas, j'ai dû manger des céréales, des oeufs, et des légumes. Quand d'autres ont eu du Coca et des hamburgers pour le dîner, j'ai dû manger de la viande, du fromage,des crudités et des fruits... Sans oublier toutes ces crêpes et gâteaux que ma maman nous a faits... Et vous pouvez
deviner que ma mère m'a fait des dîners qui étaient différents de celui des autres enfants.
Mes parents ont insisté pour savoir où j'étais en tout temps. On aurait pu croire
que j'étais enfermée dans une prison. Ils devaient savoir qui mes amis étaient et ce que je faisais avec eux.. Ils insistaient si je disais que je serais partie pour une heure, pour que ce soit seulement une heure ou moins..
J'avais honte de l'admettre, mais mes parents ont enfreint la loi sur la
protection des enfants concernant le travail en me faisant travailler. J'ai dû faire la vaisselle, mon lit (quelle horreur!), apprendre à faire la cuisine, passer l'aspirateur, faire mon lavage, vider les poubelles et toutes sortes d'autres travaux cruels.... Je pense qu'ils se réveillaient la nuit pour imaginer de nouvelles tâches à me faire faire...
Ils ont toujours insisté pour que je dise la vérité, juste la vérité et rien que la
vérité. Au moment où je suis devenue adolescente, ils pouvaient lire dans mon esprit et avaient des yeux tout autour de la tête. Puis, la vie est devenue vraiment dure !
Mes parents ne laissaient pas mes amis juste klaxonner quand ils venaient me
chercher. Ils devaient venir à la porte pour qu'ils puissent les rencontrer. Pendant que chacun pouvait fréquenter un ou une petit(e) ami(e) quand ils avaient 12 ou 13 ans, j'ai dû attendre d'en avoir 16
À cause de mes parents, j'ai manqué beaucoup de choses que d'autres enfants ont expérimentées. Je n'ai jamais été prise pour vol à l'étalage, vandalisme, alcoolisme,ni même arrêtée pour tout autre crime. C'était «tout de leur faute».


Maintenant que j'ai quitté la maison, je suis instruite et une adulte honnête. Je fais de mon mieux pour être un parent méchant comme mes parents l'étaient.
Je pense que c'est ce qui ne va pas avec le monde aujourd'hui. Il n'y a
pas assez de parents méchants!
Merci donc à toutes les parents qui ont été assez méchants dans notre jeunesse pour nous apprendre à être de méchantes bonnes personnes.

 
 

Ce n'est pas de moi mais je n'ai pas de nom à mettre, je ne voudrai pas que l'on me prenne pour une "Voleuse"

camille0 (1)

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16 octobre 2011 7 16 /10 /octobre /2011 08:20

 

 

Autumn leaves Les Feuilles d'automne1

II. À M. LOUIS B.



Louis, quand vous irez, dans un de vos voyages,
Voir Bordeaux, Pau, Bayonne et ses charmants rivages,
Toulouse la romaine où dans des jours meilleurs
J'ai cueilli tout enfant la poésie en fleurs,
Passez par Blois. Et là, bien volontiers sans doute,
Laissez dans le logis vos compagnons de route,
Et tandis qu'ils joueront, riront ou dormiront,
Vous, avec vos pensers qui haussent votre front,
Montez à travers Blois cet escalier de rues
Que n'inonde jamais la Loire au temps des crues;
Laissez là le château, quoique sombre et puissant,
Quoiqu'il ait à la face une tache de sang;
Admirez, en passant, cette tour octogone
Qui fait à ses huit pans hurler une gorgone;
Mais passez. Et sorti de la ville, au midi,
Cherchez un tertre vert, circulaire, arrondi,
Que surmonte un grand arbre, un noyer, ce me semble,
Comme au cimier d'un casque une plume qui tremble.
Vous le reconnaîtrez, ami, car, tout rêvant,
Vous l'aurez vu de loin sans doute en arrivant.


Sur le tertre monté, que la plaine bleuâtre,
Que la ville étagée en long amphithéâtre,
Que l'église, ou la Loire, et ses voiles aux vents,
Et ses mille archipels plus que ses flots mouvants,
Et de Chambord là-bas au loin les cent tourelles
Ne fassent pas voler votre pensée entre elles.
Ne levez pas vos yeux si haut que l'horizon,
Regardez à vos pieds..


Louis, cette maison
Qu'on voit, bâtie en pierre et d'ardoise couverte,
Blanche et carrée, au bas de la colline verte,
Et qui, fermée à peine aux regards étrangers,
S'épanouit charmante entre ses deux vergers,
C'est là.Regardez bien. C'est le toit de mon père.
C'est ici qu'il s'en vint dormir après la guerre,
Celui que tant de fois mes vers vous ont nommé,
Que vous n'avez pas vu, qui vous aurait aimé!


Alors, ô mon ami, plein d'une extase amère,
Pensez pieusement, d'abord à votre mère,
Et puis à votre soeur, et dites : " Notre ami
Ne reverra jamais son vieux père endormi!


" Hélas! il a perdu cette sainte défense
Qui protège la vie encore après l'enfance,
Ce pilote prudent, qui pour dompter le flot
Prête une expérience au jeune matelot!
Plus de père pour lui! plus rien qu'une mémoire!
Plus d'auguste vieillesse à couronner de gloire!
Plus de récits guerriers, plus de beaux cheveux blancs
À faire caresser par les petits enfants!
Hélas! il a perdu la moitié de sa vie,
L'orgueil de faire voir à la foule ravie
Son père, un vétéran, un général ancien!
Ce foyer où l'on est plus à l'aise qu'au sien,
Et le seuil paternel qui tressaille de joie
Quand du fils qui revient le chien fidèle aboie!


" Le grand arbre est tombé! resté seul au vallon,
L'arbuste est désormais à nu sous l'aquilon.
Quand l'aïeul disparaît du sein de la famille,
Tout le groupe orphelin, mère, enfants, jeune fille,
Se rallie inquiet autour du père seul
Que ne dépasse plus le front blanc de l'aïeul.
C'est son tour maintenant. Du soleil, de la pluie,
On s'abrite à son ombre, à sa tige on s'appuie.
C'est à lui de veiller, d'enseigner, de souffrir,
De travailler pour tous, d'agir et de mourir!
Voilà que va bientôt sur sa tête vieillie
Descendre la sagesse austère et recueillie;
Voilà que ses beaux ans s'envolent tour à tour,
Emportant l'un sa joie et l'autre son amour,
Ses songes de grandeur et de gloire ingénue,
Et que pour travailler son âme reste nue,
Laissant là l'espérance et les rêves dorés,
Ainsi que la glaneuse, alors que dans les prés
Elle marche, d'épis emplissant sa corbeille,
Quitte son vêtement de fête de la veille!
Mais le soir, la glaneuse aux branches d'un buisson
Reprendra ses atours, et chantant sa chanson
S'en reviendra parée, et belle, et consolée;
Tandis que cette vie, âpre et morne vallée,
N'a point de buisson vert où l'on retrouve un jour
L'espoir, l'illusion, l'innocence et l'amour!


" Il continuera donc sa tâche commencée,
Tandis que sa famille autour de lui pressée,
Sur son front, où des ans s'imprimera le cours,
Verra tomber sans cesse et s'amasser toujours,
Comme les feuilles d'arbre au vent de la tempête,
Cette neige des jours qui blanchit notre tête!


" Ainsi du vétéran par la guerre épargné,
Rien ne reste à son fils, muet et résigné,
Qu'un tombeau vide, et toi, la maison orpheline
Qu'on voit blanche et carrée au bas de la colline,
Gardant, comme un parfum dans le vase resté,
Un air de bienvenue et d'hospitalité!


" Un sépulcre à Paris! de pierre ou de porphyre,
Qu'importe! Les tombeaux des aigles de l'empire
Sont auprès. Ils sont là tous ces vieux généraux
Morts un jour de victoire en antiques héros,
Ou, regrettant peut-être et canons et mitraille,
Tombés à la tribune, autre champ de bataille.
Ses fils ont déposé sa cendre auprès des leurs,
Afin qu'en l'autre monde, heureux pour les meilleurs,
Il puisse converser avec ses frères d'armes.
Car sans doute ces chefs, pleurés de tant de larmes,
Ont là-bas une tente. Ils y viennent le soir
Parler de guerre; au loin, dans l'ombre, ils peuvent voir
Flotter de l'ennemi les enseignes rivales;
Et l'empereur au fond passe par intervalles.


" Une maison à Blois! riante, quoique en deuil,
Élégante et petite, avec un lierre au seuil,
Et qui fait soupirer le voyageur d'envie
Comme un charmant asile à reposer sa vie,
Tant sa neuve façade a de fraîches couleurs,
Tant son front est caché dans l'herbe et dans les fleurs!

Victor Hugo 1830


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  • : BIENVENUE-CHEZ-CAMILLE
  • : Je souhaite avant tout en faire un endroit convivial, ou vous aurez envie de revenir.Avant d'être invalide moteur à 80% je faisais plein de choses j'aimerai les partager avec vous. Je souhaiterai que vous y preniez la parole, que vous vous sentiez chez vous. Je souhaite de la gaité,de la culture,de la drôlerie, et un partage de ce que vous aimez. Je suis ouverte à tout et à tous.
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