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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 01:35

 

LES POÈMES

de la Fée Camille

(Chez les 3 Colombes)
 
       

 


 
La Princesse aux Pins dormants


Sur la plage Estelle et Stéphane se poursuivaient. Ils couraient à perdre haleine si bien que Stéphane finit par perdre ses lunettes !
- Dépêche toi Harry lui dit son amie Estelle qui l’appelait comme cela car il ressemblait à un personnage de roman qui se nommait Harry. Stéphane ramassa rapidement ses lunettes souffla dessus et se remit à courir dans le vent jusqu'à se bousculer dans le sable tiède.
Alors essoufflés par leurs courses folles, ils se couchaient, se roulaient dans le sable et riaient, riaient a en avoir mal au ventre !
- J’arrête, dit Stéphane.
- Tu as raison, répondit Estelle, repose toi je vais faire un tour.
Elle traversa la plage. Tout en haut ses pieds s’enfoncèrent dans le sable chaud. Elle descendit en courant dans l’herbe qui poussait dans les dunes.
-Ici il fait trop chaud. Et elle s’aventura sous les pins pour chercher de la fraîcheur.
Elle fit quelques pas et vit une petite fille qui dormait. Ses cheveux étaient comme le soleil couchant derrière la mer, avec les vaguelettes qui font des boucles, et Elsa comprit aussitôt qu’il s’agissait d’une princesse bien évidemment.
Aussitôt, Estelle courut avertir Harry - oh pardon ! Stéphane.
- Viens vite, j’ai trouvé une princesse aux cheveux soleil couchant !
Tous deux partirent pour rejoindre l’endroit où dormait la belle princesse
Celle-ci dormait à l’ombre des pins en haut d’une dune protégée par les arbustes qui poussaient ça et là à leur souhait et on ne sait comment !
Tu sais qui c’est, demanda Stéphane ? Levant les yeux au ciel Estelle dit : - Ben c’est évident ! C’est une princesse ! Ah les garçons, il faut tout leur dire.
- Pas n’importe quelle princesse, reprit Stéphane en regardant la belle endormie. C’est la Princesse aux Pins Dormants !
- Il nous faut un château pour l’accueillir, dit Estelle.
- Construisons le ! dit Stéphane. 
Ils ramassèrent des branches de pin, encore des branches de pin, et toujours des branches de pins. Ben oui ! Rigoles pas, Sophinette ! C’est ce qu’on trouve le plus facilement ici, dans une forêt de pins na !Pi, si tu ris, eh ben j’arrête mon histoire et ta maman va te mettre un sparadrap sur la bouche na ! Promesse de Fée.
- Construisons-le dans le bois. Les châteaux, ça se construit dans les bois.
- Pas celui de la Princesse aux Pins Dormants ! Il doit se trouver au bord de l’eau, répliqua Estelle.
Bon d’accord, répondit Harry –( bon !... Stéphane. hi hi !)
Ils traversèrent le chemin de sable, gravirent la dune puis dévalèrent jusqu’à la mer. Ils tracèrent l’enceinte du château. Puis ils bâtirent les murs avec du sable bien mouillé, mais pas trop. Il ne faut pas que le sable soit trop mouillé, dit Stéphane, en garçon habitué à faire des châteaux.
C’est vrai, approuva Estelle, qui laissa à Stéphane la direction de la construction.
Ils achevèrent les murs puis dessinèrent les tours. Il y en eut quatre (tu sais lire quatre ?). Ensuite, Stéphane construisit un escalier dans chaque tour. Ainsi la princesse pourrait grimper et quand son amoureux partirait en voyage elle pourrait le suivre de très loin.
Pendant, ce temps Estelle, très pratique, comme toutes les filles, et les femmes aussi ; traça une porte, puis ensemble, ils préparèrent le lit de la princesse dans la chambre qu’avait déjà faite Estelle. Le lit était fait de petits grains de sable sec qui brillaient dans le soleil.
- Tu vois, dit Estelle, notre Princesse des Pins aura un couvre lit constellé de diamants !
A son tour Stéphane bondit dans la dune et rapporta des oyats (ce sont des petites branches avec des plumes blanches c’est très joli).
Il planta chacun d’eux dans une des tours.
Et alors ils admirèrent le château de la princesse des pins
Soudain, ils entendirent une musique pleine de mystère et de douceur. Comme une flûte enchantée
- Il était temps de réveiller la princesse.
Ils arrivèrent ensemble au bois
- Princesse, murmura Estelle la plus courageuse. Car, il faut bien le dire, ils tremblaient à l’idée qu’elle les regarde. Ses yeux devaient avoir la couleur de la mer : d’un bleu changeant selon son humeur !
-Princesse ! Chuchota Stéphane.
Mais la princesse ne se réveillait toujours pas
- Coucou ! dit Estelle
- Tralala ! dit Stéphane qui s’était enhardi.
Alors, au moment ou Harry (ah zut !) finissait le dernier la, elle se réveilla !
Et quand elle ouvrit les yeux ils virent qu’ils avaient raison !
On entendit alors, sur le chemin, une voix douce qui criait : 
SOPHIE ! SOPHIE !..
- J’arrive, Maman ! cria la princesse.
D’un bond elle se dressa et voyant les deux amis leur sourit et leur fit signe de la suivre. Il coururent derrière elle aussi vite qu’ils purent car elle courait comme une gazelle
Il faut rentrer, annonçait la voix de la maman de la Princesse du Bois des Pins. 
La maman de la princesse des pins était aussi jolie qu’elle. Forcément, elle avait du être princesse quand elle était jeune, et un roi avait du l’épouser. Mais alors, elle était habillée n’importe comment ! Si j’avais le temps …et bien, je, heu oui , Enfin, on ne peux pas tout faire et tout expliquer, mais si elle veut des conseils, c’est gratuit pour une reine !
A demain les enfants, dit la reine en leur faisant un signe de la main. La princesse sourit à ses nouveaux amis et leur dit :
- A demain ! Je vous montrerai ma collection de grenouilles qui jouent d’un instrument ! 15 h même endroit.
Des grenouilles qui jouent de la musique ! tu crois qu’elle n’a pas attrapée un coup de soleil di Stéphane à Estelle ?, je l’ai trouvée bien rouge !
Mais non bêta c’est parce qu’elle avait dormi fort fort !
Et puis c’est possible, ses parents on pu lui ramener de voyage, écoute voyant son ami qui se grattait la tête
Alors les enfants dévalèrent la dune pour revoir une dernière fois leur superbe château. Mais là, un désespoir les envahit !
La mer était montée. Estelle se mit à pleurer. Plus de château !
-Pleure pas, ma Mimi ! Nous le reconstruirons demain.
- Où ? Dans le bois ?
-On verra demain. On cherchera le meilleur endroit pour que la mer ne le détruise pas.
Pour eux aussi, c’était l’heure de rentrer.
Estelle et Stéphane (eh ! je l’ai bien dit, hein !), traversèrent la plage et gravirent la dune. En marchant au lieu de courir, cette fois, car ils étaient très fatigués.
- Demain sera un grand jour, dit Stéphane ;
-Oui ! Un grand jour ! reprit Estelle, qui avait séché ses larmes et marchait en sautillant comme font les filles quand elles sont contentes.
Les deux enfants s’éloignèrent sur le chemin qui les ramena vers les villas de vacances que leurs parents respectifs avaient louées côte à côte. Car les papas travaillaient ensemble et les enfants se connaissaient depuis la maternelle. Et en plus, heureusement, les mamans étaient deux sœurs. Alors, forcément, tout était facile.
Vivement demain se dirent ils en croquant dans la part de pizza bien croustillante qu’ils avaient en main ah ah ah si j’avais eu un appareil de photo, c’était le moment de les prendre en photos ces deux là : Ils étaient barbouillés de tomate. Après la toilette, les dents ( Jamais oublier les dents), et au lit ! Ils sombrèrent tous deux dans une nuit sans rêve, le sommeil les avait terrassés !


FIN
Fait exclusivement pour Mademoiselle Sophie
Copyright La Fée Camille du 7 Janvier 2007

 




J’espère que vous avez aimé cette histoire.
Je vous fais un énorme bisou à tous Votre fée Camille.
 

kit création les 3 Colombes
Copyright @ chez-nous.biz 2004-2006

 

 

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 01:14

 

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Le fardeau de mes ans et de mes infirmités
me pèse lourdement, et je sais ma fin prochaine.

C'est pourquoi moi, Brutus Thibault,
(communément appelé La Brute par mon père, 
amis et connaissances),
dépose en secret dans l'âme de mon grand ami,
mon maître , mon testament.

J'ai peu de biens matériels à léguer.
Les chiens sont plus sages que les hommes.
Ils n'attachent pas grand prix aux choses de la terre.
Je n'ai aucun bien précieux à transmettre, si ce 
n'est mon affection et ma fidélité.

Je les lègue à tous ceux qui m'ont aimé; 
qui je le sais, me regretteront le plus, 
à Michel, Nancy et Yann qui ont été si bons pour moi.

Peut-être ai-je tort de m'enorgueillir,
mais j'ai toujours été un chien extrêmement affectueux.
Je demande à Michel de toujours se souvenir de moi,
mais de ne pas me pleurer trop longtemps.

Au cours de mon existence, j'ai essayé de le réconforter 
dans la peine et de lui apporter un surcroît de joie 
dans le bonheur.

Il m'est pénible de penser que, même dans la mort,
je pourrais lui causer du chagrin.
Je le prie de ne pas oublier qu'à sa tendresse et 
à sa sollicitude je dois d'avoir été le plus heureux 
des chiens.

Mais maintenant me voici devenu pratiquement aveugle, 
sourd et j'ai de très gros problèmes de dentition 
m'empêchant de manger; ainsi ma fierté a fait place 
à une humiliation qui me déroute.

Je sens que la vie me reproche d'avoir trop prolongé la fête.
Je dois faire mes adieux avant de devenir un poids insupportable
pour moi et pour celui qui m'a donné son affection.
Il me sera douloureux de le quitter, mais pas de mourir.
Contrairement aux hommes les chiens ne redoutent pas la mort.
Que se passe-t-il après? Nul ne le sait.

En tout cas, je suis au moins sûr de trouver la paix
et un long repos pour mon vieux coeur las, ma vieille tête,
mes vieux membres ainsi qu'un sommeil éternel
dans cette terre que j'ai tant aimée.
Il est un dernier vœu que je formule en toute sincérité.
J'ai entendu mon maître, dire:
"Quand Brutus mourra, je n'aurai jamais plus de chien.
Je l'aime tellement que je ne pourrai plus en aimer un autre."
 

Maintenant pour l'amour de moi, je lui demande de revenir 
sur sa décision. Ce serait un bien piètre tribut à ma mémoire
que de ne jamais plus avoir de chien.
Je voudrais tant garder le sentiment que,
maintenant que j'ai fait partie de la famille,
il lui est désormais impossible de vivre sans la compagnie
du meilleur ami de l'homme!
Je n'ai jamais été exclusif ni jaloux.
J'ai toujours soutenu que la plupart de mes congénères sont bons (même mon co-locataire, un chat... Miow-Miow,
à qui j'ai quelques fois autorisé à partager mon lit avec moi.
 

 

J'ai toléré son amitié dans un esprit de générosité et,
dans mes rares moments de sentimentalité,
je lui ai même rendu un peu la pareille).
Aussi je conseille à mon maître de choisir
un autre chien à son goût pour me succéder.
Il pourra difficilement être aussi bien élevé, aussi poli, 
aussi distingué et aussi beau que je fus dans ma jeunesse.
Mais, je suis sûr qu'il fera de son mieux
et aussi que ses défauts inévitables contribueront,
par contraste, à perpétuer mon souvenir.
Je lui lègue mon collier, ma laisse, mon lit, mon ensemble 
de Noël. Un dernier mot à Michel, Nancy, et Yann, 
Chaque fois que vous penserez à moi :
dites-vous avec regret, mais aussi avec bonheur,
en vous rappelant ma longue vie à vos côtés :
"Brutus était un être qui nous aimait et que nous aimions.
"Si profond que soit mon sommeil, je vous entendrai,
et tout le pouvoir de la mort n'empêchera pas mon âme de chien
d'agiter la queue avec reconnaissance.

Brutus Thibault

Votre chien fidèle qui veillera toujours sur vous.

tiré d'un texte Sélection de Reader's Digest 1976.
Adaptation Miti

Camillou

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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 13:02

http://www.monet2010.com/?lang=fr&rub=galerie&id=64

 

En entrant ce qui est mis ci dessus vous entrez dans un monde extraordinaire, ou les ombrelles s'envolent, l'eau bouge selon votre gré, les pétales de fleurs se dispersent les cloches des églises sonnent. JE NE VOUS EN DIS PAS PLUS!

J'aime partager avec vous

Camille

ps: N'oubliez pas de mettre le son pour profiter de l'enchantement

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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 02:38
 


      Tu l'as tant chanté ce Sanctus c'est un peutoi sur cette musique


 

 de souffrances

Étais ce à toi de régler la note de ce nonenrop pleuré.

Cette naissance francois à chaque inst

 

 

François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003

Toi qui as vu le jour en toute innocence 
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé 
Mais de force tu as été fait 
Horreur présente dans ma conscience 
  
Mais ce bonheur on me l'a supprimé 
tu comprend, je ne te voulais pas! 
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?   
Loin d’être mon choix, 
tu étais pourtant bien là !

Tu as su conquérir avec ton âme si belle 
Mon cœur fermé de mère, 
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré ! 
  
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant? 
Tu es présent à chaque instant 
vingt ans de douleurs et de souffrances 
est ce le prix à payer pour être né non désiré ? 
  
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens ! 

Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ? 
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure

François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné

Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier 
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.

Mam
Il aurait eu 42 ans aujour'hui mon bel enfant lumière
Camille

 

François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003

Toi qui as vu le jour en toute innocence 
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé 
Mais de force tu as été fait 
Horreur présente dans ma conscience 
  
Mais ce bonheur on me l'a supprimé 
tu comprend, je ne te voulais pas! 
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?   
Loin d’être mon choix, 
tu étais pourtant bien là !

Tu as su conquérir avec ton âme si belle 
Mon cœur fermé de mère, 
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré ! 
  
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant? 
Tu es présent à chaque instant 
vingt ans de douleurs et de souffrances 
est ce le prix à payer pour être né non désiré ? 
  
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens ! 

Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ? 
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te repses
Ici tout est obscur, sale et sans aucune me
osure


François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné

Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier 
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.

Ta maman


 

 

 

 

François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003

Toi qui as vu le jour en toute innocence 
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé 
Mais de force tu as été fait 
Horreur présente dans ma conscience 
  
Mais ce bonheur on me l'a supprimé 
tu comprend, je ne te voulais pas! 
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?   
Loin d’être mon choix, 
tu étais pourtant bien là !

Tu as su conquérir avec ton âme si belle 
Mon cœur fermé de mère, 
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré ! 
  
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant? 
Tu es présent à chaque instant 
vingt ans de douleurs et de souffrances 
est ce le prix à payer pour être né non désiré ? 
  
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens ! 

Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ? 
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure

François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné

Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier 
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.

Ta maman


 

 

 

 

François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003

Toi qui as vu le jour en toute innocence 
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé 
Mais de force tu as été fait 
Horreur présente dans ma conscience 
  
Mais ce bonheur on me l'a supprimé 
tu comprend, je ne te voulais pas! 
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?   
Loin d’être mon choix, 
tu étais pourtant bien là !

Tu as su conquérir avec ton âme si belle 
Mon cœur fermé de mère, 
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré ! 
  
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant? 
Tu es présent à chaque instant 
vingt ans de douleurs et de souffrances 
est ce le prix à payer pour être né non désiré ? 
  
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens ! 

Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ? 
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure

François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné

Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier 
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.

Ta maman


 

 

 

 

François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003

Toi qui as vu le jour en toute innocence 
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé 
Mais de force tu as été fait 
Horreur présente dans ma conscience 
  
Mais ce bonheur on me l'a supprimé 
tu comprend, je ne te voulais pas! 
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?   
Loin d’être mon choix, 
tu étais pourtant bien là !

Tu as su conquérir avec ton âme si belle 
Mon cœur fermé de mère, 
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré ! 
  
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant? 
Tu es présent à chaque instant 
vingt ans de douleurs et de souffrances 
est ce le prix à payer pour être né non désiré ? 
  
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens ! 

Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ? 
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure

François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné

Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier 
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.

Ta maman


 

 

 

 

François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003

Toi qui as vu le jour en toute innocence 
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé 
Mais de force tu as été fait 
Horreur présente dans ma conscience 
  
Mais ce bonheur on me l'a supprimé 
tu comprend, je ne te voulais pas! 
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?   
Loin d’être mon choix, 
tu étais pourtant bien là !

Tu as su conquérir avec ton âme si belle 
Mon cœur fermé de mère, 
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré ! 
  
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant? 
Tu es présent à chaque instant 
vingt ans de douleurs et de souffrances 
est ce le prix à payer pour être né non désiré ? 
  
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens ! 

Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ? 
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure

François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné

Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier 
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.

Ta maman


 

 

 

 

François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003

Toi qui as vu le jour en toute innocence 
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé 
Mais de force tu as été fait 
Horreur présente dans ma conscience 
  
Mais ce bonheur on me l'a supprimé 
tu comprend, je ne te voulais pas! 
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?   
Loin d’être mon choix, 
tu étais pourtant bien là !

Tu as su conquérir avec ton âme si belle 
Mon cœur fermé de mère, 
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré ! 
  
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant? 
Tu es présent à chaque instant 
vingt ans de douleurs et de souffrances 
est ce le prix à payer pour être né non désiré ? 
  
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens ! 

Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ? 
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure

François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné

Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier 
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.

Ta maman


 

 

 

 

François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003

Toi qui as vu le jour en toute innocence 
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé 
Mais de force tu as été fait 
Horreur présente dans ma conscience 
  
Mais ce bonheur on me l'a supprimé 
tu comprend, je ne te voulais pas! 
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?   
Loin d’être mon choix, 
tu étais pourtant bien là !

Tu as su conquérir avec ton âme si belle 
Mon cœur fermé de mère, 
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré ! 
  
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant? 
Tu es présent à chaque instant 
vingt ans de douleurs et de souffrances 
est ce le prix à payer pour être né non désiré ? 
  
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens ! 

Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ? 
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure

François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné

Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier 
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.

Ta maman


 

 

 

 

François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003

Toi qui as vu le jour en toute innocence 
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé 
Mais de force tu as été fait 
Horreur présente dans ma conscience 
  
Mais ce bonheur on me l'a supprimé 
tu comprend, je ne te voulais pas! 
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?   
Loin d’être mon choix, 
tu étais pourtant bien là !

Tu as su conquérir avec ton âme si belle 
Mon cœur fermé de mère, 
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré ! 
  
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant? 
Tu es présent à chaque instant 
vingt ans de douleurs et de souffrances 
est ce le prix à payer pour être né non désiré ? 
  
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens ! 

Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ? 
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure

François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné

Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier 
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.

Ta maman


 

 

 

 

François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003

Toi qui as vu le jour en toute innocence 
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé 
Mais de force tu as été fait 
Horreur présente dans ma conscience 
  
Mais ce bonheur on me l'a supprimé 
tu comprend, je ne te voulais pas! 
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?   
Loin d’être mon choix, 
tu étais pourtant bien là !

Tu as su conquérir avec ton âme si belle 
Mon cœur fermé de mère, 
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré ! 
  
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant? 
Tu es présent à chaque instant 
vingt ans de douleurs et de souffrances 
est ce le prix à payer pour être né non désiré ? 
  
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens ! 

Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ? 
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure

François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné

Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier 
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.

Ta maman


 

 

 

 

François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003

François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003Toi qui as vu le jour en toute innocence 
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé 
Mais de force tu as été fait 
Horreur présente dans ma conscience 
  
Mais ce bonheur on me l'a supprimé 
tu comprend, je ne te voulais pas! 
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?   

Toi qui as vu le jour en toute innocence 
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé 
Mais de force tu as été fait 
Horreur présente dans ma conscience 
  
Mais ce bonheur on me l'a supprimé 
tu comprend, je ne te voulais pas! 
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?   
Loin d’être mon choix, 
tu étais pourtant bien là !

Tu as su conquérir avec ton âme si belle 
Mon cœur fermé de mère, 
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré ! 
  
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant? 
Tu es présent à chaque instant 
vingt ans de douleurs et de souffrances 
est ce le prix à payer pour être né non désiré ? 
  
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens ! 

Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ? 
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure

François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné

Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier 
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.

Ta mamanFrançois décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003

Toi qui as vu le jour en toute innocence 
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé 
Mais de force tu as été fait 
Horreur présente dans ma conscience 
  
Mais ce bonheur on me l'a supprimé 
tu comprend, je ne te voulais pas! 
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?   
Loin d’être mon choix, 
tu étais pourtant bien là !

Tu as su conquérir avec ton âme si belle 
Mon cœur fermé de mère, 
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré ! 
  
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant? 
Tu es présent à chaque instant 
vingt ans de douleurs et de souffrances 
est ce le prix à payer pour être né non désiré ? 
  
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens ! 

Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ? 
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure

François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné

Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier 
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.

Ta mamanFrançois décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003

Toi qui as vu le jour en toute innocence 
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé 
Mais de force tu as été fait 
Horreur présente dans ma conscience 
  
Mais ce bonheur on me l'a supprimé 
tu comprend, je ne te voulais pas! 
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?   
Loin d’être mon choix, 
tu étais pourtant bien là !

Tu as su conquérir avec ton âme si belle 
Mon cœur fermé de mère, 
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré ! 
  
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant? 
Tu es présent à chaque instant 
vingt ans de douleurs et de souffrances 
est ce le prix à payer pour être né non désiré ? 
  
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens ! 

Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ? 
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure

François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné

Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier 
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
D
mort de tropes motMamans couchés sur ce papier 



 

 

 

 


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31 août 2013 6 31 /08 /août /2013 07:05
 

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  • « Faire de la dravière » : L’expression signifie faire du mélange. Elle était surtout utilisée lorsque les personnes mélangeaient le français et le picard.

 

  • « Faire des Chapelles » : A Douai, lorsque l’on fait des chapelles c’est que l’on s’arrête en chemin pour rendre visite à des parents ou des amis, surtout pour boire un coup (faire chapelle au Carnaval de Dunkerque est une tradition).

 

  • « Faire la barbe sans savon » : A Maubeuge, l’expression signifie battre et dépasser quelqu’un. Alors qu’à Hainaut le sens est plus fort, faire la barbe sans savon c’est vaincre, offenser voir agresser quelqu’un.

 

  • « Faire la bistouille » : Lorsque l’on fait la bistouille cela veut dire que l’on arrose son café d’alcool.

 

  • « Faire le pipi malot » : L’expression est utilisée pour décrire une personne qui cause beaucoup trop, qui fait trop de bruit en parlant, qui fait des reproches aux autres et qui s’agite de façon désordonnée.

 

 

  • « Faire marvoyer » : A Maubeuge et Roubaix, faire marvoyer veut dire faire enrager, agacer, taquiner quelqu’un.

 

  • « Faire ses trois tours » : A Tourcoing, Roubaix et Cambrai, l’expression signifie mourir.

 

  • « Faire son rinquinquin » : C’est faire acte de rébellion.

 

  • « Faire un baiser à pinchettes » (faire une baisse à pinchettes) : L’expression signifie embrasser en pinçant les lèvres ou en pinçant un peu les joues en signe de familiarité (Gondecourt, Pévèle, Artois). 

 

  • « Faire une vieille » : Dans le pays lillois, on fait une vieille lorsque l’on perd une partie de cartes ou de boules sans marquer un seul point.

 

Je n'en connais que deux et vous les chtis et les Belges ?

bisous

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31 août 2013 6 31 /08 /août /2013 06:47

 

 

 

UN tit mot

 

Mes amies,

Ce tit mot pour vous dire qu'en septembre depuis 10 ans c'est dur pour moi,

Le 4 François aurait eu 42 ans il est parti le 22 février 2003

Le12 Pascal aurait eu 44 ans il est parti le 22 septembre 2011

TOUS LES DEUX UN VENDREDI ET UN 22 JE NE CROIS PAS AUX COINCIDENCES!!!

Je vais donc mettre un poème pour chacun, si vous ne voulez pas les lire, je comprendrai très bien vous zappez !

 

Le 22 c'est aussi les 4 ans de mon blog, et je vais essayer de faire quelque chose de drôle, je vais penser à Pascal qui lui aurait su m'aider c'était un comique et un imitateur né , Je vais bien trouver quelque chose qui sort de l'ordinaire enfin j'espère sinon ce sera un flop !

 

Vous voyez c'est court mais il fallait que je vous l'écrive

Merci de votre présence qui d'aide au delà de ce que vous pouvez imaginer

Je vous embrasse

 

Camille

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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 05:23
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30 août 2013 5 30 /08 /août /2013 04:57
photo de la remise de sa grande médaille d'or du travail vous voyez je ne vous raconte pas de carabistouilles, il était comme cela!

Camille était petite. Elle adorait ses grands parents, grand mère avec sa grande tresse blanche qui lui tombait jusqu’aux reins et pépé avec ses petites lunettes rondes derrière lesquelles il y avait toujours, soit un sourire heureux, soit un sourire moqueur faisant penser: ha ha! attendez un petit peu les enfants vous allez voir la blague que je vais vous faire
C´était le plus merveilleux des grand-papas. Il avait les cheveux blancs comme neige, des yeux taquins pleins d’histoires et une grosse moustache à l’ancienne qui faisait dire aux enfants : « Tu piques pépé ! Le rire de ses petits le comblait de bonheur.
Un matin il oublia de se réveiller. Il s’était endormi d’un long sommeil. Grand-pére était très fatigué, et il n’avait pas eu le temps de prévenir ses petits qu’il adorait et ils le lui rendaient bien. Il y eu une fête à l’église mais les enfants n’avaient pas le droit d’assiste à la fête donnée pour le départ de leur pépé, aussi ils lui dirent au revoir dans leur coeur.
Les enfants étaient très malheureux. Ils ne verraient plus leur gentil pépé. Il racontait de si belles histoires, il avait fabriqué un manège de chevaux pour eux et il jouait comme un enfant . Ils l’aimaient beaucoup.

Une nuit, la petite Camille fit un magnifique rêve. Oui, elle rêva de grand père. Il était assis tranquillement sur son nuage bleue et tirait sur ses bretelles en disant «  aïe aïe » et il lui souriait  en parlant, donc il n’avait pas mal, ouf! c’était déjà cela il avait tellement fait le coup du mal de ventre il se roulait par terre et faisait plein de grimaces ! Mémé de temps à autre juste pour montrer qu’il était avant tout leur grand père le grondait « Dis Clovis tu as fini de faire peur à ces petits, cette nuit s'ils font des cauchemars, c’est toi qui te paie les deux étages pour les calmer avec un bol de lait dans chaque main et n’oublie pas le miel, les petis aiment cela et ça les aident pour s’endormir, tu as compris Clovis, » Et lui faisait le sourd en prenant un verre contre son oreille en disant «  commin je comprin rin »
Bref il lui dit ceci : je vais te faire une confidence,
Je serai toujours là pour toi ! Quand tu  as la tristesse dans tes yeux, quand tu as un bobo, regardes dans le ciel. Je suis l’étoile la plus brillante et que tes petits yeux peuvent voir scintiller. tu sentiras ma présence je continuerai à te raconter plein d’histoires".
Quand elle se réveilla, Elle garda le secret de son rêve, et ne le dit à personne, c’était leur secret.

À partir de ce rêve, tous les soirs, Camille courait dans sa chambre, pas pour dormir tout de suite non, c’était pour regarder dans le ciel l’étoile la plus brillante. Car c’était Grand-père Clovis qui était là, elle imaginait qu’il lui envoyait des bisous qui piquent. Elle était heureuse car pépé Clovis vivait toujours...
« La vie ne finit jamais, elle se transforme »
Mon pépé Clovis était comme cela, c‘est une histoire vrai sauf, qu’il est parti bien plus tard et ma grand mère j’ai déjà écris un conte sur elle, elle l’a suivi de peu et mon papa le lendemain. Il adorait sa belle maman il aurait tout fait pour elle.
Oh ! Camillou, ne pleures pas! Tu vas inonder ton clavier.
Camille 2010
 
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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 03:25

 

293057 297309550403601 706083006 n

L'absence,

C'est un anniversaire

Qu'on ne peut plus fêter,

C'est un bonsoir

Qui reste sans réponse.

C'est un dialogue suspendu

Qui ne connaît pas de fin

 

L'absence,

C'est un regard perdu

Qui part à la rencontre de souvenirs heureux,

C'est une larme, au bord de la paupière,

Qui enfin roule sur la joue.

 

 

L'absence,

Ce sont des places au tour de la table,

Qui restent vides tous les jours de l'année,

C'est un silence pesant

Qui accompagne le dîner.

 

L'absence,

C'est un anniversaire

Qu'on ne peut plus fêter,

C'est un bonsoir mes amours,

Qui reste sans réponse.

 

L'absence ,

C'est une main tremblante,

Qui caresse vos photos ,

C'est une doigt tout léger ,

Qui effleure les contours de vos visages.

 

 

Pour toutes celles et ceux qui sont partis en laissant un vide, un manque, à celles et ceux qui restent

Je viens de retrouver cela dans mes poèmes, c'est ancien et sans nom, j'ai un peu arrangé à ma façon, si une personne le reconnait merci de me le faire savoir

Camille

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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 03:19


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  • : BIENVENUE-CHEZ-CAMILLE
  • : Je souhaite avant tout en faire un endroit convivial, ou vous aurez envie de revenir.Avant d'être invalide moteur à 80% je faisais plein de choses j'aimerai les partager avec vous. Je souhaiterai que vous y preniez la parole, que vous vous sentiez chez vous. Je souhaite de la gaité,de la culture,de la drôlerie, et un partage de ce que vous aimez. Je suis ouverte à tout et à tous.
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