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Le fardeau de mes ans et de mes infirmités
me pèse lourdement, et je sais ma fin prochaine.
C'est pourquoi moi, Brutus Thibault,
(communément appelé La Brute par mon père,
amis et connaissances),
dépose en secret dans l'âme de mon grand ami,
mon maître , mon testament.
J'ai peu de biens matériels à léguer.
Les chiens sont plus sages que les hommes.
Ils n'attachent pas grand prix aux choses de la terre.
Je n'ai aucun bien précieux à transmettre, si ce
n'est mon affection et ma fidélité.
Je les lègue à tous ceux qui m'ont aimé;
qui je le sais, me regretteront le plus,
à Michel, Nancy et Yann qui ont été si bons pour moi.
Peut-être ai-je tort de m'enorgueillir,
mais j'ai toujours été un chien extrêmement affectueux.
Je demande à Michel de toujours se souvenir de moi,
mais de ne pas me pleurer trop longtemps.
Au cours de mon existence, j'ai essayé de le réconforter
dans la peine et de lui apporter un surcroît de joie
dans le bonheur.
Il m'est pénible de penser que, même dans la mort,
je pourrais lui causer du chagrin.
Je le prie de ne pas oublier qu'à sa tendresse et
à sa sollicitude je dois d'avoir été le plus heureux
des chiens.
Mais maintenant me voici devenu pratiquement aveugle,
sourd et j'ai de très gros problèmes de dentition
m'empêchant de manger; ainsi ma fierté a fait place
à une humiliation qui me déroute.
Je sens que la vie me reproche d'avoir trop prolongé la fête.
Je dois faire mes adieux avant de devenir un poids insupportable
pour moi et pour celui qui m'a donné son affection.
Il me sera douloureux de le quitter, mais pas de mourir.
Contrairement aux hommes les chiens ne redoutent pas la mort.
Que se passe-t-il après? Nul ne le sait.
En tout cas, je suis au moins sûr de trouver la paix
et un long repos pour mon vieux coeur las, ma vieille tête,
mes vieux membres ainsi qu'un sommeil éternel
dans cette terre que j'ai tant aimée.
Il est un dernier vœu que je formule en toute sincérité.
J'ai entendu mon maître, dire:
"Quand Brutus mourra, je n'aurai jamais plus de chien.
Je l'aime tellement que je ne pourrai plus en aimer un autre."
Maintenant pour l'amour de moi, je lui demande de revenir
sur sa décision. Ce serait un bien piètre tribut à ma mémoire
que de ne jamais plus avoir de chien.
Je voudrais tant garder le sentiment que,
maintenant que j'ai fait partie de la famille,
il lui est désormais impossible de vivre sans la compagnie
du meilleur ami de l'homme!
Je n'ai jamais été exclusif ni jaloux.
J'ai toujours soutenu que la plupart de mes congénères sont bons (même mon co-locataire, un chat... Miow-Miow,
à qui j'ai quelques fois autorisé à partager mon lit avec moi.
J'ai toléré son amitié dans un esprit de générosité et,
dans mes rares moments de sentimentalité,
je lui ai même rendu un peu la pareille).
Aussi je conseille à mon maître de choisir
un autre chien à son goût pour me succéder.
Il pourra difficilement être aussi bien élevé, aussi poli,
aussi distingué et aussi beau que je fus dans ma jeunesse.
Mais, je suis sûr qu'il fera de son mieux
et aussi que ses défauts inévitables contribueront,
par contraste, à perpétuer mon souvenir.
Je lui lègue mon collier, ma laisse, mon lit, mon ensemble
de Noël. Un dernier mot à Michel, Nancy, et Yann,
Chaque fois que vous penserez à moi :
dites-vous avec regret, mais aussi avec bonheur,
en vous rappelant ma longue vie à vos côtés :
"Brutus était un être qui nous aimait et que nous aimions.
"Si profond que soit mon sommeil, je vous entendrai,
et tout le pouvoir de la mort n'empêchera pas mon âme de chien
d'agiter la queue avec reconnaissance.
Brutus Thibault
Votre chien fidèle qui veillera toujours sur vous.
tiré d'un texte Sélection de Reader's Digest 1976.
Adaptation Miti
Camillou
http://www.monet2010.com/?lang=fr&rub=galerie&id=64
En entrant ce qui est mis ci dessus vous entrez dans un monde extraordinaire, ou les ombrelles s'envolent, l'eau bouge selon votre gré, les pétales de fleurs se dispersent les cloches des églises sonnent. JE NE VOUS EN DIS PAS PLUS!
J'aime partager avec vous
Camille
ps: N'oubliez pas de mettre le son pour profiter de l'enchantement
Tu l'as tant chanté ce Sanctus c'est un peutoi sur cette musique
de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce nonenrop pleuré.
François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003
Toi qui as vu le jour en toute innocence
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé
Mais de force tu as été fait
Horreur présente dans ma conscience
Mais ce bonheur on me l'a supprimé
tu comprend, je ne te voulais pas!
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?
Loin d’être mon choix,
tu étais pourtant bien là !
Tu as su conquérir avec ton âme si belle
Mon cœur fermé de mère,
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré !
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant?
Tu es présent à chaque instant
vingt ans de douleurs et de souffrances
est ce le prix à payer pour être né non désiré ?
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens !
Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ?
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure
François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné
Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.
François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003
Toi qui as vu le jour en toute innocence
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé
Mais de force tu as été fait
Horreur présente dans ma conscience
Mais ce bonheur on me l'a supprimé
tu comprend, je ne te voulais pas!
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?
Loin d’être mon choix,
tu étais pourtant bien là !
Tu as su conquérir avec ton âme si belle
Mon cœur fermé de mère,
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré !
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant?
Tu es présent à chaque instant
vingt ans de douleurs et de souffrances
est ce le prix à payer pour être né non désiré ?
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens !
Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ?
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te repses
Ici tout est obscur, sale et sans aucune meosure
François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné
Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.
Ta maman
François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003
Toi qui as vu le jour en toute innocence
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé
Mais de force tu as été fait
Horreur présente dans ma conscience
Mais ce bonheur on me l'a supprimé
tu comprend, je ne te voulais pas!
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?
Loin d’être mon choix,
tu étais pourtant bien là !
Tu as su conquérir avec ton âme si belle
Mon cœur fermé de mère,
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré !
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant?
Tu es présent à chaque instant
vingt ans de douleurs et de souffrances
est ce le prix à payer pour être né non désiré ?
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens !
Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ?
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure
François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné
Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.
Ta maman
François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003
Toi qui as vu le jour en toute innocence
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé
Mais de force tu as été fait
Horreur présente dans ma conscience
Mais ce bonheur on me l'a supprimé
tu comprend, je ne te voulais pas!
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?
Loin d’être mon choix,
tu étais pourtant bien là !
Tu as su conquérir avec ton âme si belle
Mon cœur fermé de mère,
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré !
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant?
Tu es présent à chaque instant
vingt ans de douleurs et de souffrances
est ce le prix à payer pour être né non désiré ?
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens !
Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ?
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure
François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné
Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.
Ta maman
François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003
Toi qui as vu le jour en toute innocence
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé
Mais de force tu as été fait
Horreur présente dans ma conscience
Mais ce bonheur on me l'a supprimé
tu comprend, je ne te voulais pas!
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?
Loin d’être mon choix,
tu étais pourtant bien là !
Tu as su conquérir avec ton âme si belle
Mon cœur fermé de mère,
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré !
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant?
Tu es présent à chaque instant
vingt ans de douleurs et de souffrances
est ce le prix à payer pour être né non désiré ?
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens !
Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ?
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure
François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné
Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.
Ta maman
François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003
Toi qui as vu le jour en toute innocence
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé
Mais de force tu as été fait
Horreur présente dans ma conscience
Mais ce bonheur on me l'a supprimé
tu comprend, je ne te voulais pas!
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?
Loin d’être mon choix,
tu étais pourtant bien là !
Tu as su conquérir avec ton âme si belle
Mon cœur fermé de mère,
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré !
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant?
Tu es présent à chaque instant
vingt ans de douleurs et de souffrances
est ce le prix à payer pour être né non désiré ?
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens !
Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ?
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure
François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné
Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.
Ta maman
François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003
Toi qui as vu le jour en toute innocence
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé
Mais de force tu as été fait
Horreur présente dans ma conscience
Mais ce bonheur on me l'a supprimé
tu comprend, je ne te voulais pas!
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?
Loin d’être mon choix,
tu étais pourtant bien là !
Tu as su conquérir avec ton âme si belle
Mon cœur fermé de mère,
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré !
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant?
Tu es présent à chaque instant
vingt ans de douleurs et de souffrances
est ce le prix à payer pour être né non désiré ?
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens !
Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ?
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure
François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné
Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.
Ta maman
François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003
Toi qui as vu le jour en toute innocence
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé
Mais de force tu as été fait
Horreur présente dans ma conscience
Mais ce bonheur on me l'a supprimé
tu comprend, je ne te voulais pas!
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?
Loin d’être mon choix,
tu étais pourtant bien là !
Tu as su conquérir avec ton âme si belle
Mon cœur fermé de mère,
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré !
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant?
Tu es présent à chaque instant
vingt ans de douleurs et de souffrances
est ce le prix à payer pour être né non désiré ?
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens !
Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ?
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure
François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné
Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.
Ta maman
François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003
Toi qui as vu le jour en toute innocence
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé
Mais de force tu as été fait
Horreur présente dans ma conscience
Mais ce bonheur on me l'a supprimé
tu comprend, je ne te voulais pas!
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?
Loin d’être mon choix,
tu étais pourtant bien là !
Tu as su conquérir avec ton âme si belle
Mon cœur fermé de mère,
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré !
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant?
Tu es présent à chaque instant
vingt ans de douleurs et de souffrances
est ce le prix à payer pour être né non désiré ?
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens !
Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ?
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure
François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné
Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.
Ta maman
François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003
Toi qui as vu le jour en toute innocence
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé
Mais de force tu as été fait
Horreur présente dans ma conscience
Mais ce bonheur on me l'a supprimé
tu comprend, je ne te voulais pas!
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?
Loin d’être mon choix,
tu étais pourtant bien là !
Tu as su conquérir avec ton âme si belle
Mon cœur fermé de mère,
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré !
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant?
Tu es présent à chaque instant
vingt ans de douleurs et de souffrances
est ce le prix à payer pour être né non désiré ?
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens !
Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ?
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure
François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné
Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.
Ta maman
François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003
François décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003Toi qui as vu le jour en toute innocence
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé
Mais de force tu as été fait
Horreur présente dans ma conscience
Mais ce bonheur on me l'a supprimé
tu comprend, je ne te voulais pas!
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?
Toi qui as vu le jour en toute innocence
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé
Mais de force tu as été fait
Horreur présente dans ma conscience
Mais ce bonheur on me l'a supprimé
tu comprend, je ne te voulais pas!
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?
Loin d’être mon choix,
tu étais pourtant bien là !
Tu as su conquérir avec ton âme si belle
Mon cœur fermé de mère,
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré !
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant?
Tu es présent à chaque instant
vingt ans de douleurs et de souffrances
est ce le prix à payer pour être né non désiré ?
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens !
Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ?
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure
François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné
Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.
Ta mamanFrançois décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003
Toi qui as vu le jour en toute innocence
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé
Mais de force tu as été fait
Horreur présente dans ma conscience
Mais ce bonheur on me l'a supprimé
tu comprend, je ne te voulais pas!
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?
Loin d’être mon choix,
tu étais pourtant bien là !
Tu as su conquérir avec ton âme si belle
Mon cœur fermé de mère,
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré !
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant?
Tu es présent à chaque instant
vingt ans de douleurs et de souffrances
est ce le prix à payer pour être né non désiré ?
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens !
Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ?
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure
François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné
Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
De ne pas avoir su t’aimer toi le fils pas désiré
Par une mère violentée par ton père pour me garder.
Ta mamanFrançois décédé dans la nuit du 21 au 22 février 2003
Toi qui as vu le jour en toute innocence
Tu n’as rien demandé toi aussi on t’as poussé
Mais de force tu as été fait
Horreur présente dans ma conscience
Mais ce bonheur on me l'a supprimé
tu comprend, je ne te voulais pas!
C’est quoi un enfant de l’amour ?
Pourquoi j’en ai pas, moi ?
Loin d’être mon choix,
tu étais pourtant bien là !
Tu as su conquérir avec ton âme si belle
Mon cœur fermé de mère,
sec d’avoir trop pleuré.
Cette naissance forcée,
cet enfant pas désiré !
Petit, tout bébé, je t’ai mal aimé
Où es tu maintenant?
Tu es présent à chaque instant
vingt ans de douleurs et de souffrances
est ce le prix à payer pour être né non désiré ?
Né de la violence, mort de trop de souffrances
Étais ce à toi de régler la note de ce non sens !
Ou es tu maintenant dit, dans un superbe paradis ?
Comme je suis heureuse qu’enfin tu te reposes
Ici tout est obscur, sale et sans aucune mesure
François, ton prénom est gravé dans mon âme blessée
de n’avoir pu rattraper ces années pendant lesquelles
Je n’ai pu te rendre cet amour que tu m’as tant donné
Tu vois mon fils, ces mots couchés sur ce papier
où mes larmes vont se briser,
c’est pour te demander de pardonner
Dmort de tropes motMamans couchés sur ce papier
Je n'en connais que deux et vous les chtis et les Belges ?
UN tit mot
Mes amies,
Ce tit mot pour vous dire qu'en septembre depuis 10 ans c'est dur pour moi,
Le 4 François aurait eu 42 ans il est parti le 22 février 2003
Le12 Pascal aurait eu 44 ans il est parti le 22 septembre 2011
TOUS LES DEUX UN VENDREDI ET UN 22 JE NE CROIS PAS AUX COINCIDENCES!!!
Je vais donc mettre un poème pour chacun, si vous ne voulez pas les lire, je comprendrai très bien vous zappez !
Le 22 c'est aussi les 4 ans de mon blog, et je vais essayer de faire quelque chose de drôle, je vais penser à Pascal qui lui aurait su m'aider c'était un comique et un imitateur né , Je vais bien trouver quelque chose qui sort de l'ordinaire enfin j'espère sinon ce sera un flop !
Vous voyez c'est court mais il fallait que je vous l'écrive
Merci de votre présence qui d'aide au delà de ce que vous pouvez imaginer
Je vous embrasse
Camille
C'est un anniversaire
Qu'on ne peut plus fêter,
C'est un bonsoir
Qui reste sans réponse.
C'est un dialogue suspendu
Qui ne connaît pas de fin
L'absence,
C'est un regard perdu
Qui part à la rencontre de souvenirs heureux,
C'est une larme, au bord de la paupière,
Qui enfin roule sur la joue.
L'absence,
Ce sont des places au tour de la table,
Qui restent vides tous les jours de l'année,
C'est un silence pesant
Qui accompagne le dîner.
L'absence,
C'est un anniversaire
Qu'on ne peut plus fêter,
C'est un bonsoir mes amours,
Qui reste sans réponse.
L'absence ,
C'est une main tremblante,
Qui caresse vos photos ,
C'est une doigt tout léger ,
Qui effleure les contours de vos visages.
Pour toutes celles et ceux qui sont partis en laissant un vide, un manque, à celles et ceux qui restent
Je viens de retrouver cela dans mes poèmes, c'est ancien et sans nom, j'ai un peu arrangé à ma façon, si une personne le reconnait merci de me le faire savoir
Camille