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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 05:27
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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 09:48

 

 

 

fée en cage

 


Il lui a promis le paradis

 
L'amour, la fidélité

 
Le miel, la félicité

 
Le bonheur, la sérénité


Se marier, fonder une famille


Construire un nid douillet


Avoir beaucoup d'enfants


Filles et garçons


S'aimer toute la vie


Jusqu'à la mort!


Victime de sa candeur


Proie de son malheur


Elle l'a cru


Lui a ouvert son cœur


Et offert son corps


De petite fille nubile


Il a abusé d'elle


Violant son innocence


Déchirant son enfance


Souillant sa dignité


Brisant sa fragilité


En toute impunité


Et il a tout nié


Et il l'a reniée!


Dans ses entrailles


La vie se réveille


Mère à quatorze ans


Seule, abandonnée


Par le père de l'enfant


Où iras-tu, colombe blessée?


Pourras-tu dénoncer


Le fils de tes maîtres?


Qui croira la petite bonne?


Bonne à tout faire


Même à satisfaire


Les désirs de la chair


De son maître débonnaire!


Esclave de la misère


Terrassée par le sort


Souillée par le déshonneur


Terrorisée par la peur


Aveuglée par le désesp
oir


Elle décide d'en finir


L'acide chlorhydrique


Est fatidique!


Ce matin une colombe est morte


Encore une autre!


Le cortège funèbre


Arrive au cimetière


Sans la moindre prière


L'imam s'arrête


A la dernière tombe


De toutes ses forces


Il lance son bâton


Dans la direction


Opposée au levant


Là où le bâton est tombé


La tombe est creusée


Loin des cadavres musulmans


Dans la honte et la malédiction !


Honnie par les vivants



Elle ira au paradis!

Bannie par les morts


Libérée de tous les remords


Enfin, elle s'endort


De l'autre côté de la vie


Honte à lui et à ceux qui ont jeté cette colombes avec les honnis

Agadir, 24/12/2009


Mostafa Houmir

 —

 

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 04:49

 

Fee-ailee.jpg

 

 



Couchée sur cette peau de mouton, sensuelle de la tête aux talons

 
Déesse à la lueur des flammes la couronnant de ses oriflammes

 
S’offrait à moi par la respiration oppressée de son corps en émois

 
N’écoutant que mon courage vins au plus près, feignant d’être sage

 
Son chemisier bien moulé, laissait transparaître son désir inavoué


Ma civilité chavirée, au moment oublié où mon bras frôla son sein


Marqué au fer rouge, du souvenir de ce touché, je me devais d’essayer


Dieu que le feu semble froid, quand je sens celui qui monte en moi


Je revins à l’endroit du contact, comme pour soigner l’accident


Du revers de mon doigt caressa l’impacte que j’avais frôlé un peu avant


Le visage en arrière, gorge offerte au prédateur, j’étais à présent son seigneur


De bouton en bouton grandissait ma ferveur, par sa peau sublimée apprenais la candeur


De ses lèvres entre ouvertes, m’attira vers ma perte, me forçant sans forcer à sa découverte


Je n’étais plus chasseur mais victime de ses désirs, à vrai dire de ses fantasmes de soubrette


De meneur à esclave, me devais d’être brave, me plier volontier à toutes formes de supplices


Ma main guidée par la sienne, outil de luxure me poussant d’aventure à goutter ses délices


Toutes les forces de l’univers concentrées en un point, c’est elle maintenant qui tenait mon destin


Se jouais de mon corps, utilisant le sien en supplice de satin,

pour seul but d’accomplir son éphémère dessein


Nos lèvres sèches et pâles désertées par le sang descendu en nos âmes pour préparer l’instant


S’épousaient fébrilement, m’insufflant le nectar de ses soupires, promettant le plaisir imminent

t
Se redressant me chevaucha, de sa beauté me submergea, me mit en elle prise aux aboies


Les yeux fermés pour mieux goûter, l’instant furtif de l’étincelle, l’apothéose de nos ébats


Les chevaux de la passion, retenu plus que de raison, méritaient toutes libérations


Paroxysme de l’effusion, chute en l’abîme des sensations, C’est bien de ça qu’il est question


De ces moments fort délicieux d’un corps trouvant l’autre merveilleux,

il est une raison, plus qu’un aveu


Ce ne peut être un acte vicieux, car pour nous rendre ainsi heureux,

point n’est meilleur cadeau de dieu.





Copyright ®


Thierry 2008

 

Merci mon ami de ce cadeau j'espère que d'autres apprécieront autant que moi

CAMILLE CHAPEAU DE PAILLE

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 05:34
 

 

 

 

 

TRALALI LALERE !!!

 

 

                                                  Youpie, Youpie il est sorti enfin !

Quoi vous n’êtes au courant, vous mes amis !

J’ai mis beaucoup de temps l’enfanter celui-ci

Pendant ce temps Marion a pris les devant

Elle a fabriqué une superbe petite Elza

Un jour que j’étais au bout du rouleau, fond du trou

Sa maman ma confidente et ma belle fille

M’avait copieusement euh… on va dire disputée !

Tu va pas lâcher maintenant, tu va l’écrire ce foutu livre

Et tu le liras à mes petits enfants quand j’en aurai na !

 

Ou lala, la Nanou quand elle si met, ça débaroule !

Elle a ajoutée quelques mots doux de son cru

Que je n’ose écrire pour vos chastes yeux

On ne sait jamais après cela part dans les oreilles

Puis cela remonte tranquillement dans les neurones

Et chlak ! Dans une petite case du cerveau bien au chaud

Pour être resservi bien frais comme les croissants du matin

euh, au beurre de préférence les croissants c’est meilleur.

 

Bref, il est non seulement fini mais sorti, mon enfant

Il est beau ! Nom de nom qu’il est beau

Forcément vous allez dire que je le dis car c’est le mien

Vous pensez 183 pages de contes divers et variées

Je ne le vends pas ! Non non je le donne, normal

Je ne vais pas vendre ce que m’ont offert mes neurones !

 

Alors voilà amis je voulais partager ce bonheur avec vous

Qui êtes si indulgents et si gentils avec moi toutes et tous

Je vais continuer ce nouveau livre avec une seule histoire

J’ai déjà le titre et 7 chapitres «  L'or des Fées »

Ça vous en bouche un coin ! Oui et bien je vais vous dire

Moi aussi ! J’ai traîné des années et voilà c’est fait !

Bien à vous mes amis je vous aime,

Je l’ai déjà dit ? ben tant pis je le redis et le redirai na !

18.11.2009

Depuis Elza va avoir 5 ans, elle a une petite soeur et une autre arrière petite fille Perrine est arrivée elle aussi il y a 2 ans. Je suis donc 3 fois arrière grand mère par procuration ,puisque c'est du côté de mon mari bonheur

50-008-copie-1.JPG

Perrine,Elza,Louise juin 2013    

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 00:07

 

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8 septembre 2013 7 08 /09 /septembre /2013 02:56

 



 

 

5202186747_2e7874698a.jpg

Dans l'ambiance de ce jour qui s'achève

Je n'attends rien, pas une ligne même brève

Mon cœur serein pourtant n'est pas en grève

Je ne veux pas penser à demain qui se lève.

 

Les mots ne sont pas nécessaires en ce soir

En fait, en moi il y a une source d'espoir

Dans laquelle je puiserais en cas de cafard!

Ton silence  n'est pas pour des gens bavards.


 Nulle musique ne peuple le temps qui s'écoule

Je me retire volontiers de cette immense foule

Je t'accueille déjà sans tapis que je déroule

De ton invisible présence, c'est la joie qui coule

 

La solitude ne m'effraie pas, j'en ai tant besoin

Elle est mon havre de paix, ma belle maison

Je peux la trouver en scrutant l'horizon

Elle me ramène à ce silence sans oraison.

 

A mes yeux tu es et tu habites dans ce silence

Je ne peux pas t'approcher, sans insouciance

Je n'entends pas un murmure, je le pense

Tu es ce cadeau reçu de toute évidence.

 CAMILLE 2003 copyright

 

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7 septembre 2013 6 07 /09 /septembre /2013 06:54

 

 

fee-qaui-se-relaxe.jpg

 

 

Les champs réunis en damier
Gardent les vestiges de l'été.
Les uns sont blonds, ébouriffés,
Les autres attendent d'être semés.

Entourant ces champs de leur ombre,
Les arbres changent de couleur
Et cette grande forêt sombre
S'illumine pour notre bonheur.

Observe bien ce paysage
La nature raconte sa vie
Pour toi, pour tous les enfants sages,
Il ne faut pas que tu l'oublies.

Le rêve s'installe avec la brume
Estompant ces doux paysages
Que les feuilles amassées parfument
De senteurs venues d'un autre âge.

La vie ne quitte pas la terre.
Elle s'endort, tout doucement,
Et lorsque passera l'hiver
Elle préparera le printemps.

Je pense que c'est de Maurice Carême mais je n'en suis pas certaine

Camille

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 14:59

 

58c4rg10-copie-1.gifREGARDEZ BIEN LES GENS DANS LES YEUX.POSEZ VOTRE REGARD

RESERVEZ VOUS DES MOMENTS D INTIMITE, SEULE

 

LES 4 REGLES D'OR:

DONNEZ DES PRIORITE A VOS PROBLEMES

TRAITEZ LES UN PAR UN

DELEGUEZ AU MAXIMUM

CONCENTREZ VOUS

CONCENTREZ VOUS VEUT DIRE: OUBLIEZ TOUT LE RESTE TRAITEZ UNE SEULE CHOSE A LA FOIS, IMPLIQUEZ VOUS CORPS ET ÄME D UNE CETTE SEULE CHOSE

 

QUAND VOTRE COEUR BAT D EMOTION OU FOND DE PLAISIR,

SAVOUREZ, PROFITEZ,LAISSEZ LE PLAISIR VOUS TRAVERSER

 

NE FAITES JAMAIS SEMPBLANT, RESTEZ VOUS MËME

 

ECRIVEZ DES POEMES MËME SANS FAIRE DE RIMES

 

NE COMMENCEZ JAMAISUNE PHRASE PAR: JE NE DEVRAI JAMAIS DIRE CELA MAIS.... TENEZ VOTRE LANGUE

 

EFFORCEZ VOUS PENDANT 24 H D ËTRE 10 FOIS PLUS GENTILLE, COURTOISE,POLIE DE D HABITUDE, OBSERVER LE CHANGEMENT AUTOUR DE VOUS

 

ET SURTOUT N OUBLIEZ PAS QUE JE VOUS AIME

 camille%20chapeau

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 08:25

 Une grand-mère qui ne perd pas le nord et dont l'esprit est encore vif et logique !

 

Voici une lettre d'une dame de 86 ans que son banquier a fait craquer. 
Sa réponse est intellectuellement savoureuse, et vaut le coup d'être connue.    

Cher Monsieur, 
 
Je vous écris pour vous remercier d'avoir refusé le chèque qui m'aurait permis de payer le plombier le mois dernier.  
Selon mes calculs, trois microsecondes se sont écoulées entre la présentation du chèque et l'arrivée sur mon compte des fonds nécessaires à son paiement. 
Je fais référence, évidemment, au dépôt mensuel automatique de ma pension, une procédure qui, je dois l'admettre, n'a cours que depuis huit ans.   

Il me faut d'ailleurs vous féliciter d'avoir saisi cette fugace occasion et débiter mon compte des 30 Euros de frais pour le désagrément causé à votre banque. 
Ma gratitude est d'autant plus grande que cet incident m'a incité à revoir la gestion de mes finances. 

J'ai remarqué qu'alors que je réponds personnellement à vos appels téléphoniques et vos lettres, je suis en retour confrontée à l'entité impersonnelle, exigeante, programmée, qu'est devenue votre banque. 
A partir d'aujourd'hui, je décide de ne négocier qu'avec une personne de chair et d'os. 
Les mensualités du prêt hypothécaire ne seront dorénavant plus automatiques mais arriveront à votre banque par chèques adressés personnellement et confidentiellement à un(e) employé(e) de votre banque que je devrai donc sélectionner. 
Soyez averti que toute autre personne ouvrant un tel pli consiste en une infraction au règlement postal. 
Vous trouverez ci-joint un formulaire de candidature que je demanderai à l'employé(e) désigné(e) de remplir. 
Il comporte huit pages, j'en suis désolée, mais pour que j'en sache autant sur cet employé(e) que votre banque en sait sur moi, il n'y a pas d'alternative. 
Veuillez noter que toutes les pages de son dossier médical doivent être contresignées par un notaire, et que les détails obligatoires sur sa situation financière (revenus, dettes, capitaux, obligations) doivent s'accompagner des documents concernés.   
Ensuite, à MA convenance, je fournirai à votre employé(e) un code PIN qu'il/elle devra révéler à chaque rendez- vous. 
Il est regrettable que ce code ne puisse comporter moins de 28 chiffres mais, encore une fois, j'ai pris exemple sur le nombre de touches que je dois presser pour avoir accès aux service téléphonique de votre banque.   
Comme on dit : l'imitation est une flatterie des plus sincère. 
Laissez-moi développer cette procédure. 
Lorsque vous me téléphonez, pressez les touches comme suit : 

Immédiatement après avoir composé le numéro, veuillez presser l'étoile (*) pour sélectionner votre langue ensuite Le 1 pour prendre rendez-vous avec moi 
Le 2 pour toute question concernant un retard de paiement 
Le 3 pour transférer l'appel au salon au cas où j'y serais 
Le 4 pour transférer l'appel à la chambre à coucher au cas où je dormirais 
Le 5 pour transférer l'appel aux toilettes au cas où.............. ... 
Le 6 pour transférer l'appel à mon GSM si je ne suis pas à la maison 
Le 7 pour laisser un message sur mon PC. Un mot de passe est nécessaire. 
Ce mot de passe sera communiqué à une date ultérieure à la personne de contact autorisée mentionnée plus tôt.

Le 8 pour retourner au menu principal et écouter à nouveau les options de 1 à 7 
Le 9 pour toute question ou plainte d'aspect général. 
Le contact sera alors mis en attente, au bon soin de mon répondeur automatique. 
Le 10, à nouveau pour sélectionner la langue. Ceci peut augmenter l'attente mais une musique inspirante sera jouée durant ce laps de temps.   
Malheureusement, mais toujours suivant votre exemple, je devrai infliger le prélèvement de frais pour couvrir l' installation du matériel utile à ce nouvel arrangement.   
Puis-je néanmoins vous souhaiter une heureuse, bien que très légèrement moins prospère, nouvelle année ? 
Respectueusement, Votre humble cliente.
 

**(Souvenez-vous : ceci fut écrit par une dame âgée de 86 ans)*** 
** LE 3ème AGE N'EST-IL PAS ADORABLE ?

 

 

85467688

Mamie Camille

 

 

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 02:24
Je voudrais être dans ta vie

La messagère de l’espoir

Celle que le destin convie

A ne jamais te décevoir

 

Je voudrais à ta solitude

Etre le rayon de soleil

Qui sans troubler ta quiétude

Viendrait sourire à ton réveil

 

Etre de loin la main tendue

Quand la peine en toi fait son nid

Ou cette parole attendue

Lorsque ton cœur est démuni.

 camille%20chapeau

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Présentation

  • : BIENVENUE-CHEZ-CAMILLE
  • : Je souhaite avant tout en faire un endroit convivial, ou vous aurez envie de revenir.Avant d'être invalide moteur à 80% je faisais plein de choses j'aimerai les partager avec vous. Je souhaiterai que vous y preniez la parole, que vous vous sentiez chez vous. Je souhaite de la gaité,de la culture,de la drôlerie, et un partage de ce que vous aimez. Je suis ouverte à tout et à tous.
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