Maladie qui m'habite
Le Mal qui me hante
Les frissons qui m'agitent
La Douleur constante
Les nuits sans sommeil
Les durs réveils
Les gens qui ne croient pas
Les gens qui ne voient pas
La culpabilité, le jugement
qu'on se fait en dedans
Il faut la foi
Il faut que l'on croit
Il faut être grand
pour vivre avec ce géant
Le vaincre semble impossible
mais l'apprivoiser est possible
On peut s'arrêter
mais non pas abandonner
Vivre 24 heures
à la fois
Croire au bonheur
et à la joie
Il y a des gens
Qui souffrent tout autant
Ces gens sourient
et croient en la vie
Aime toi
donne toi
Prend tout ce temps
pour aider les gens
Pour devenir grand
Il est né enfant sauvage
Chantant avec les abeilles
Mangeant des fruits vermeils
Il est né enfant triste
Traînant sa mélancolie
Il mettait des larmes
Et des bateaux de liège
Dans le creux de ses mains
Pour les voir naviguer
Il mettait des oiseaux de papier
Dans le creux de ses mains
Qu’il jetait au ciel
Pour les voir s’envoler
Il portait son cœur en bandoulière
Il battait fort sur sa poitrine
Aux caresses des filles
Et aux baisers volés
Il était un enfant sombre
Qui brisait les réverbères
Pour en voler la lumière
Il était un enfant triste
Un vagabond d’espoirs
En quête d’un peu d’amour.
Le barman est réputé avoir une poigne terrible.
À tel point qu'un concours permanent est ouvert dont le prix est quand même de 1000 euros.
Le barman presse dans sa main un citron en faisant couler le jus dans un verre.
Si quelqu'un est capable de faire donner une goutte de plus au citron après le barman, alors il gagne les 1000 euros !
Tout le monde des gros bras (les forts des halles,les dockers et autres haltérophiles) s'est essayé à ce petit jeu, mais personne n'a encore gagné.
Un beau jour, un petit bonhomme, tout mince, tout fragile, avec des lunettes aux verres épais d'un centimètre se présente au barman et lui dit :
- J'aimerai tenter ma chance au concours !
Après que les rires se soient tus, le barman accepte. Il attrape un citron et le presse complètement. Ensuite, il tend les restes du citron au petit bonhomme.
La foule qui regarde la scène pousse un +hoo+ d'étonnement lorsqu'elle voit une puis deux puis trois puis... six gouttes tomber du citron pourtant sec !!!
- Et qu'est-ce que vous faites comme métier ? Bûcheron ou quelque chose comme ça ?Et le petit bonhomme répond :
Non je travaille aux impôts
La vie est un soleil
Qui à chaque fois que je me réveille
Me fait découvrir de nouvelles merveilles
Elle est faite d'amour, de tristesse
Bien des fois elle te blesse te mène à la détresse
Mais chaque jour tu te bats pour elle
Car elle est cette étincelle, elle est tienne
Bien des fois elle sera faite de pleurs
Tu te meurs pour elle
Mais ne t'inquiète pas à chaque larme un sourire
C'est ça qui fait ses armes
Elle est faite de peur aussi mais c'est ainsi
Et c'est pour cela que servent les amis
Pour te soutenir, te faire rire, te dépasser
Et bien sur t'aimer
Elle est faite d'orgueil, de rancoeur
Mais ton coeur est aussi fait
D'amour, de joie, de rire
Et c'est pour ça que tu sais quand ce soleil s'éteindra
Oui quand ton heure sonnera
Oublie tout le mal, les regrets, les méfaits
Garde les souvenirs, les délires
Oui avant de mourir ne pense qu'à cette vie
Ce soleil qui t'a donné réconfort et merveilles.
""Ce poème est écrit par ""ALAIN""
Au-delà de moi-même voyez ce que je suis.
Ce que je ne suis plus, que vous ne savez pas.
Ce sourire crispé, ces larmes que j’essuie,
Ces douleurs malhonnêtes qui entravent mes pas.
Je tangue et me débats dans ces murs de grisaille,
Je veux y croire encore, mais je ne le peux guère.
Je lutte et je m’obstine, têtue, vaille que vaille,
J’avance à reculons, je regarde en arrière…
Ces rêves gaspillés, l’éternelle espérance,
Ce destin contrarié, ces erreurs que je blâme…
A l’heure du départ mettant fin aux souffrances,
Un bouquet de bleuets suffira à mon âme.
Pour Camille - Nina Padilha © 12/02/2011
Merci Nina il me correspond tout à fait
Une jeune femme,
se prénommant Barbara, joue à "Qui veut gagner des millions".
Jean-Pierre, l'animateur : Barbara, vous avez gagné 300 000 euros ;
il ne vous reste plus qu'une seule question.
Cette prochaine question peut vous permettre de gagner le million,
mais, si vous vous trompez, vous retomberez à 48 000 euros. Vous pouvez toutefois vous arrêter maintenant et repartir avec les 300 000 euros.
Que faites-vous ?
Barbara : Je continue.
Jean-Pierre : Pour un million d'euros, voici donc la quinzième et dernière question : Lequel de ces oiseaux, ne fait pas son propre nid ?
Est-ce? :
A. Le merle
B. Le moineau
C. Le coucou
D. La grive.
Rappelez-vous, Barbara, cette question vaut 1 million.
Barbara : C'est le coucou.
Barbara : Je veux jouer ; c'est le coucou.
Jean-Pierre : Êtes-vous absolument certaine ?
Jean-Pierre : C'est votre dernière mot ?
Barbara : Oui, c'est mon dernier mot
Jean-Pierre : Barbara, vous aviez 300 000 euros et, à la dernière question, vous avez répondu "C. Le coucou". Ooooouuuuuiiiiiis,
c'est la bonne réponse, vous avez gagné le million d'euros !
Public, applaudissez notre gagnante...
Ce soir-là, Barbara appela son amie Carole et elles décidèrent
d'aller boire un verre de champagne pour célébrer cette
victoire.
Carole demanda alors à Barbara : Dis-moi, d'où savais-tu que le coucou ne construisait pas son propre nid ?
Mais t'es con ou quoi ? répondit Barbara, tout le monde sait que les coucous vivent dans des horloges !
monamilechien
par Camille
La vaste majorité de nos misères sont des restes d'hier ou empruntées à demain : garde ton Aujourd'huipropre. Aujourd'hui est à toi,
c'est à toi que Dieu l'a donné. Tous tes hiers, il les a repris.
Tous tes demains sont entre ses mains... Aujourd'hui, est à toi... Prends-en les joies et sois heureux...Prends-en les peines et sois fort. Il n'y a pas de joie, sauf aujourd'hui.Décide dans ton esprit de jouir de ton travail et de ces loisirs, coûte que coûte, aujourd'hui.Aujourd'huiest à toi. Emploie-le de sorte que sur la fin, tu puisses dire :
"J'ai aimé aujourd'hui"