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On est maître de l'amour que l'on donne,
On est esclave de l'amour que l'on attend
Quand parfois rien ne veut s'arranger
Quand la route, pénible, continue de monter,
Quand les fonds sont en baisse, les dettes amoncelées,
Quand vous voulez sourire et que vous soupirez,
Quant tout vous presse, que vous êtes surmenés,
Faites une pause, mais ne baissez pas les bras.
La vie est surprenante avec ses volte-faces,
Chacun de nous un jour l'a constaté,
Maints échecs en succès ont été transformés
Celui qui est en tête est parfois dépassé
Ne baissez pas les bras, bien que l'allure soit lente,
Un petit vent nouveau peut vous faire triompher.
Le but est bien souvent à portée de la main,
De l'homme fatigué, affaibli et chancelant.
Il arrive au vainqueur, parfois, de renoncer,
Alors que la victoire est au bout du chemin.
C'est après qu'il comprend, mais hélas trop tard,
Combien il était près de la couronne d'o
Le succès, c'est l'échec qui change soudain de cap,
Et contourne très loin les nuages du doute,
Et nul ne peut dire si le but se rapproche,
Il peut être tout près alors qu'il semble loin.
Plongez dans la bagarre lorsque vous êtes en tête,
Et lorsque tout va mal, ne baissez pas les bras.
Il n'est pas courant pour un Koala de porter des jumeaux,
et ce qui est regrettable, dans cet exemple, c'est que la maman koala
a été heurtée et tuée par une voiture qui passait.
Heureusement, le chauffeur s'est arrêté et a pris la mère pour la transporter
au cabinet vétérinaire local (mais elle était déjà morte )
Il n'est pas courant pour un Koala de porter des jumeaux,
et ce qui est regrettable, dans cet exemple, c'est que la maman koala
a été heurtée et tuée par une voiture qui passait.
Heureusement, le chauffeur s'est arrêté et a pris la mère pour la transporter
au cabinet vétérinaire local (mais elle était déjà morte )
il a découvert qu'elle avait des jumeaux dans sa poche.
Ils ont été sauvés grâce aux bons soins de la vétérinaire…
il a découvert qu'elle avait des jumeaux dans sa poche.
Nourrissage à la seringue…
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Ils ont bien grandi…Ils sont trop beaux, c'est triste qu'ils ont plus leur maman !!
mais bravo a la super véto qui les a sauvés
Je voudrai m’en aller par un jour de soleil
Avec un déploiement d’azur pour tout cortège
Et ma dépouille irait sombrer dans le sommeil
Bienfaisant qu’elle aura tant rêver sur la terre
Je partirai tranquille et sans remords aucun,
Mes yeux ont tant pleurés qu’ils s’éteindront heureux
De ne plus se brûler à des regards anciens,
Auxquels ils doivent trop de songes douloureux
Mon front devient trop lourd pour supporter encore
Sa trop triste pensée et son tourment amer
Mes lèvres on déjà traduit tant de mensonges
Qu’elles se fermeront avides de silence
Mes mains ont entouré ton corps de tant de gestes
Attentifs et pieux que tu te montrais las,
Qu’il me semblera doux se ne plus les commettre
Et de ne plus, enfin, m’amoindrir devant toi !
Je voudrais te quitter sans même que tu le saches
Que tu ne verras plus ma forme désolée,
Sans te douter pourquoi j’abandonne la tâche
Et comment je m’en suis allée !
Et je voudrais pleurer jusqu'à l’ultime larme
Pour que ton œil soit sec et paisible ton front
Je voudrai m’en aller simplement dans un songe
Dont tu serais encore le héros triomphant.
François Gilette 1920
À ton bras, j'ai marché
À ton cœur, j ai dit oui
Mon chéri
À ton bras, près de ton cœur
Nous cueillerons la fleur
De notre amour
À ton bras, dans cette petite chapelle
Nous nous sommes dit « Oui» à l'éternel
Pour aujourd'hui, pour demain
N'oublions jamais de parfumer
Notre amour, tous les jours
Pour que notre vie soit douce
Bénis sois-tu Seigneur
Pour tant d'amour
MERCI 1994
Savez vous comment fonctionne une écluse ? | ||
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A toi que je ne connais pas, sans armure
Je ne veux pas te blesser avec mes mots dits en pâture
Si je le pouvais, ce serait juste dans un doux murmure
Dans ma voix, tu comprendrais mes idées très pures.
Je n’ai que mes mots pour changer le monde actuel
Je parle du monde réel, ainsi que celui qui est virtuel
Les mots éclatants dans mon cœur sont les plus usuels
La naissance des mots pour moi, n’a rien d’un rituel.
Faut-il qu’à mes écrits, je rajoute une petite carapace
Que certains jaillirent de mon âme lentement s’effacent?
En aucun cas, je n’ai peur de mon regard dans la glace
C’est le seul moyen, qui me permette que je me déplace.
Mes poèmes parlant d’amour ne sont pas des épées
Dirigés vers ceux qui ne se sentent certes, pas aimés
C’est une manière de donner, de partager, de rêver
Il arrive que le sang de mon cœur les ait composés.
Je n’ai que mes pauvres rimes à tendrement vous offrir
Par grandes vagues sans fin, ils m’évitent de trop souffrir
A peine écrits, je le sens, ils commencent déjà à mourir
Alors, toi, avec des larmes, donne-moi ton sourire.
27/07/2002
J'entends la mer |
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Parfois | ||
Henri de REGNIER |
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