Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
4 mars 2011 5 04 /03 /mars /2011 19:04

 

 

 

4804290636_58d129a1fe.jpg

 

Ta voix roque ma scotchée
Puis nous nous sommes rencontrée

Sur le port nos yeux se sont accrochés

Ton sourire est devenu mon soleil
Ton rire comme un câlin qui s'éveille.

Je t'offre dans mes mains
Mille baisers câlins
Pour que jamais tu n'en sois privée

Comment faire pour que tu comprennes

qu'il m'est interdit de dire à quel point je t'aime

comme ton corps me manque,

comme ta bouche est un blasphéme

tu souhaite que je t'écrive plus souvent des poèmes

qui parlent de caresse de douceur et de sexe

mes lèvres sont cellées, mes bras sont encordés

mais mon corps te crie des je t'aime et des je te veux

je veux retrouver ton odeur, tes railleries,

et parfois tes mots tendres

j'aurais aimé passer au moins une nuit avec toi pour te le prouver

à quel point je suis déchirée de ne plus t'entendre, 

de ne plus te voir et t'embrasser oh oui t'embrasser

je garde au fond de moi, et gravé dans ma mémoire,

le seul "je t'aime" que tu m'ai dit,

il il a si longtemps, trop longtemps.

je gardes tout, vraiment tout, même les douleurs

Si je devais donner à nos étreintes une couleur

je ne pourrais les dépeindre sans y laisser des pleurs

Sache seulement que mon amour pour toi

cet amour si secret, si beau et depuis si longtemps 

Je l'écris dans ces lignes, que tu liras je le sais,

est bien au chaud pour toujours,définitivement

et que tu ne laisseras pas comme toujours

le moindre commentaire, ou sous forme épistolaire

Tu ne peux comme moi laisser de traces,

toi car tu serais reconnue,moi parce que je ne peux plus

Un jour nous nous retrouverons, pas sur la toile

Non mais j'espère pour de bon, corps contre corps

camille%20chapeau



 






Partager cet article
Repost0
3 mars 2011 4 03 /03 /mars /2011 15:21

 


Vidéo

 

Partager cet article
Repost0
3 mars 2011 4 03 /03 /mars /2011 05:59

 

 

 

 

mettre le son merci5466480649_3643a21a5a.jpg
  Comme un arbre j’ai grandi Comme un arbre je me suis élevée Comme un arbre j’ai voulu pousser Comme un arbre j’ai eu faim et soif Comme un arbre j’ai essayé Comme lui de me déployer Comme lui parfois j’ai manqué De nourriture affective Parfois on m’a empêchée On m’a privée de liberté Mes branches voulaient s’étaler Vers le ciel, se déployer Mais encore aujourd’hui On les enferme, on les comprime Encore aujourd’hui les barreaux De cette prison dorée sont bien hauts Pour sortir je dois pousser, forcer Les barreaux à s’écarter Difficile parfois de se battre Contre cette sensation d’étouffer Le besoin d’air est le plus fort Respirer avec peine, avec effort Surtout chasser la culpabilité De laisser les êtres aimés Mais la VIE est la plus forte Elle me dit de m’autoriser A prendre un peu de liberté Celle qui m'a toujours manquée Pâquerette copyright  
Partager cet article
Repost0
2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 06:04

 

 

     
5070543481_cbf6d30010.jpg

 

 


 

Me voilà devant elle, si belle et blanche

Ma main enfermée, la remplira bien vite

En desserrant un petit peu le carcan qui la tient

Je ne cherche pas, les mots sont là, je viens !

 

Il était une fois une histoire, un cœur

Qui ne demandait presque rien à la vie

Juste un peu de temps et du bonheur

Et de palpiter pour effacer les jours gris.

 

Un épisode fut inscrit dans le grand livre

La vie repris son tour, en semant de l’amour

Tardivement mais bon, pas à en être ivre

Son doux regard apaisant le mien le premier jour.

 

Puis ce fut un autre chapitre qui commença

Ne cessant d’anéantir les souvenirs en nombre

De cette époque qui filait déjà à bout de bras

Et ce soir, mon visage retrouve sa pénombre.

 

Les maux sont revenus chasser rires et mots

La page se remplie d’elle-même avec effroi

Dans cette histoire, il n’y aura pas de héros

Non, juste un être anéanti par la vie et le froid.

 

De nouveaux jours se lèveront sans un seul bruit

Les maux se succéderont me brisant comme la glace

De ces maux qui ne me laissent aucun sursis

Les mots sont aussi cruels que les maux de ma vie

 

Camille 2005

 

Partager cet article
Repost0
2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 05:57

 

 

Un prochain jour html m8892ff0


 

 

Je découvre mon visage dans le vieux miroir

Dans mes yeux, il y a des éclats d’espoir

Tu sais, je n’ai plus peur de l’arrivée du soir

Le bonheur m’habite, il a chassé mon cafard.

 

J’ai envie de rêver, de nos souvenirs de vacances

j’ai l’âme et le cœur qui battent la cadence

De cet amour, qui pour moi, est une évidence

La tête comme avant, dans les étoiles, je danse.

 

C’est à mon tour de te parler de mon bonheur

Qui met autour de moi, de douces senteurs

La vie vécue reprend une nouvelle valeur

Dis-moi, que tu m’aideras à déloger ma peur.

 

J’inventerais bien quelques nouveaux mots

Dommage, ils ne seront jamais trop beaux

Oserais-je attendre des phrases en écho?

Je me sens aussi libre, qu’un bel oiseau.

 

J’avais froid et tu as su me réchauffer

J’ai envie de crier que je veux encore t’aimer

C’est toi qui vient me remodeler

Avec tout mon amour je veux te remercier.

MOOI2003

Camille

Partager cet article
Repost0
1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 05:42

"Je viens de te quitter, enfin cela fait quelqu’une semaine, je t'ai bien accompagnée depuis déjà plusieurs mois, mais surtout les deux derniers. Mais je crois que tu as enfin compris la raison de ma présence, alors je te laisse naviguer seule.

J'étais là quand tu ne pouvais dire à personne combien tu souffrais dans ton coeur, de voir ton mari aussi mal, quand tu t'inquiétais beaucoup, et que personne ne voulait l'entendre.

J'étais là parce que la vérité était beaucoup trop atroce à exprimer, alors là tu pouvais au moins dire un peu : J'ai mal !

J'étais là pour ne pas que tu t'ouvres complètement aux autres, mais pour que tu puisses laisser s'épancher un peu de tes souffrances quand même.

J'étais là avec toi chez ton médecin, pour que tu aies au moins une raison de le voir.

J'étais là pour la même raison dans tes consultations de spécialistes

Tu devrais pourtant me connaitre, quand tu étais petite fille, j'étais là aussi, pour que tu puisses dire à ta maman: "J'ai mal maman"

Nous étions déjà ensemble, main dans la main quand ta maman t'emmenait toutes les semaines chez le médecin car tu souffrais d'infections urinaires, de douleurs de hanche et de poignets.

Il était inconcevable de livrer ce que tu vivais d'aussi douloureux et destructeur à la maison, alors ton corps parlait, je le faisais parler. Mais à quoi bon, personne ne l'entendait.

Tu viens de comprendre ce qu'est la somatisation, alors fais attention à toi, je peux revenir sous toutes les formes, même des maladies graves, ne les laisse pas survenir, il est temps de mettre fin à tout ce processus.

Vis et essaie d'être heureuse ! "

 Pâquerette copyright

 

Partager cet article
Repost0
1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 05:32

les-rangs-d-oignons-elysa.jpg

 

Partager cet article
Repost0
28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 05:02

 

 

Juste pour rire1

 

 


>
> C'est l'histoire vraie d'une institutrice de dernière année de
> maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde
> ...
> Un des gamins lui demande de l'aide pour mettre ses bottes pour aller en
> récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler.
> Après avoir poussé, tiré, re-poussé et tiré dans tous les sens, les
> bottes sont enfin chaussées et le gamin dit :
> "Elles sont à l'envers, maîtresse".
>
> La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en effet
> il y a eu inversion des pieds...
> Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre
> mais elle réussit à garder son calme
> jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds.
> Et là, le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants :
> "C'est pas mes bottes".
>
> A ce moment, elle fait un gros effort pour ne pas lui mettre une baffe,
> fait un tour sur elle-même en se mordant les lèvres,
> se calme et lui demande pourquoi il ne l'a pas dit avant ...
> Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne répond
> pas. Elle dit alors :
> "Bon, allez, on les enlève" et elle se met à nouveau au boulot.
> Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :
> "C'est pas mes bottes, c'est celles de mon frère, mais maman a dit que
> je dois les mettre".
> Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et
> entreprend de lui re- re- mettre ses bottes.
>
> L'opération est enfin réussie et la maîtresse se sent fière d'avoir réussi.
> Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son
> manteau, lui met son cache-nez et lui demande :
> "Où sont tes gants?".
>
> Et le gamin de répondre le plus simplement du monde :
> "Pour pas les perdre, je les ai mis dans mes bottes."

SINGE QUI RIT

Camille

Partager cet article
Repost0
28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 04:37

 

 

la-douceau-des-mots.gif

 

La plume caresse ce mot qui me fait peur,
Les tensions se transformant en douleurs,
Il faut bien peu de chose maintenant,
A celle que j'étais il y a peu de temps,

 

Un paysage beau me faisait tant plaisir,
Même les mots simples me font souffrir.
Je n'ai plus la force de comprendre,
Je ne veux pas seulement attendre,

 

Les jours se suivent et se ressemblent !

Juste une nouvelle me rappelle que la vie est belle.
Au fond de mon coeur les beaux souvenirs se ressemblent,
Je me dis que ce beau mot bonheur,ne bat pas de l'aile!

 

Alors je m'apaise, je deviens libre,
Mon esprit devient vraiment ivre
Je sens remonter celle que je suis,
Je repense au temps qui s'enfuit,

 

De cette vie, qui n'est plus la même,
De tous ces instants que j'aime…
Voilà tout ce que veut dire ce mot,
Qui explique tous mes maux.

amillouna.gif

 

Partager cet article
Repost0
27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 08:43

PASCAL-LE12.02.2012-016.jpg


 

 

Et pour cause ton existence m’était inconnue jusqu'à cette nuit

Nuit de douleur et de bonheur, enfin mon fils Pascal est papa

Petit bonhomme tu as un an déjà et je ne te connais pas

Si tu savais ce que l’annonce de ta naissance m’a apportée

Elle va me rendre j’espère, ton papa mon fils aîné

Perdu corps et biens depuis tant d’années.

 

J’ai tellement écrit sur lui que les mots n’arrivent pas

Et ces mots couchés sur le papier ont tout changés

Ma vie faite de douleurs et du mot «  impossible, pas pour toi »

A tout à coup été illuminée par l’annonce de ton arrivée.

Je t’ai tant et tant attendu, petit bonhomme, qu ne me connaît pas !

Maintenant je sais que tout ce que j’écris depuis des années

Pour d’autres enfants, c’était dans l’attente de ta venue à toi.

 

Petit bonhomme que je ne connais pas

Aimes dans ton petit cœur ton papa qui hurle de bonheur et de joie

Et j’espère que ta maman, un jour enfin comprendra

Qu’un petit bonhomme comme toi a besoin de son papa

Petit Noé je te lance une bouée, attrape la vite, prend la!

Je viendrai alors vers toi, et enfin pourrais te prendre dans mes bras

Car enfin, grâce à ton papa, mes bras se refermeront sur toi

Ta Nonna qui t’attendra et qui t’aime déjà

Le 24 avril 08 né le 26 mai 2007

Le 27 juin 2009 je ne le connais toujours pas

LE 27 février 2011 je ne l'ai toujours pas vu

 

 

sissi en juin

Camille

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : BIENVENUE-CHEZ-CAMILLE
  • : Je souhaite avant tout en faire un endroit convivial, ou vous aurez envie de revenir.Avant d'être invalide moteur à 80% je faisais plein de choses j'aimerai les partager avec vous. Je souhaiterai que vous y preniez la parole, que vous vous sentiez chez vous. Je souhaite de la gaité,de la culture,de la drôlerie, et un partage de ce que vous aimez. Je suis ouverte à tout et à tous.
  • Contact

Archives