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22 octobre 2009 4 22 /10 /octobre /2009 02:06

 

 

 

Tout doucement je gravis l’escalier vers le futur

Que des marches symboliques qui furent très dures!

Mon corps, mon âme claire et mon coeur sont purs

Tout au fond de moi, il y a des idées qui  perdurent.

 

Voilà encore une page écornée qui se tourne malgré moi

J’en ai fini de me battre avec les trop nombreuses lois

Je n’ai plus à répondre aux questions, de tous ces pourquoi

Je suis entrain de réapprendre à vivre la vie dans la joie.  

 

J'enferme les souvenirs présents dans la malle de mon coeur  

Je veux goûter à nouveau les plus petits instants de bonheur

Sans pouvoir réellement oublier cette omniprésente douleur  

Et quitter enfin cette vallée que j'ai franchie dans les pleurs.  

 

Je réalise que le marché du travail pour moi, n'a plus de place  

Comment oserais-je seulement sans pudeur me voiler la face?  

J’ai combattu avec force, le regard de ceux qui sont en face  

La course contre la montre vécue, enfin réellement s’efface.  

 

En écrivant ces mots, je romps les ponts en disant adieu

Je m'octroie le droit de rêver des jours qui seront merveilleux

Je dessine avec ma main des formes douces dans le ciel bleu

Dans la plus belle pirouette, à mon passé je redis Adieu.  

2001

                                         
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21 octobre 2009 3 21 /10 /octobre /2009 10:00

 

 

Poème à Christine

 

Petite sœur de mon cœur,

Ce n'est pas le hasard

Qui t'a donné un si joli prénom

Si doux qui te va si bien

Têtue et fière, tu sais ce que tu veux

Avec tant de tendresse

Dans ton cœur rempli de douceur

Tu es sincère et sans mystère

Réservée émerveillée de tout

Curieuse espiègle, et sans détours.

Que ton nouveau chemin dans la vie t'apporte

Beaucoup de sérénité, de bonheur, et de tendresse.

Tu es la lumière qui m'aide et me donne l'espoir

Tu es la petite sœur que j'avais tant désiré avoir

Toi seule connais les mots qui me sortent de mon trou noir.

 

Même quand tu n'as fais que passer, un peu de toi est resté.

Saches que tu as et tu auras toujours ta place ou que je sois,

Car depuis ta naissance tu fais partie, de ma vie.

Je t’aime petite sœur, je voulais te l'écrire

Afin que cela soit couché sur le papier.

Quand mes yeux seront fermés à jamais!

De toi j’aimerai emporter un souvenir

D’une Christine rayonnante et joyeuse

Avec cette petite pépite que je n'ai plus

 Mais que tu gardes toi dans les yeux.

Ta Grande sœur ou soseur.

                                             
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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 06:55








On peut toujours rêver
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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 06:22







 
Ce proverbe, moi je l'aime,
Car chaque journée qui est passée,
Il faudrait très vite l'oublier.
On ne peut revenir en arrière,
Et recommencer ce qu'on a fait hier,
Les erreurs qu'on a accumulées,
Il vaut mieux les oublier puisqu'on ne peut les réparer.
Il ne faut pas vivre dans le passé,
C'est une chose qu'il faut effacer.
On se fait du mal inutilement,
Puisqu'on ne peut rien changer à ce qui s'est passé avant.
Il ne faut penser qu'au lendemain,
Et à ce qu'on peut faire de bien,
Car ce qui est passé est passé,
Et l'avenir devant nous peu tout effacer.
Alors regardons l'avenir,
Avec un beau sourire,
Comme on a pris un peu de maturité,
Peut-être pourrons-nous moins nous tromper.
Inconnu

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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 06:14

 

 

 

 

 

Ode à l’amour, vos magnifiques poèmes,
Ils sont partis, les êtres que j’aime
Je ne connaîtrai pas leur vieillesse.
Dans une famille, est-ce une malédiction
De mourir en pleine jeunesse ?
Me voilà seule à tourner en rond
A quêter un peu de consolation.
Les retrouver un jour ?
Et si ce n’était qu’un leurre
Inutile donc… tout cet amour ?
Quand, pour moi, sonnera l’heure
Je connaîtrais enfin la solution.
Pour l’instant, je m’agite
En tous sens, en tous lieux
Cherchant un nouveau gîte,
Parcourant d’autres cieux.
Faut-t- il qu’un jour on m’attache
Pour qu'ainsi je cesse de fuir ?
Des liens qui ne soient pas trop lâches
Mais arrêteront-t-ils mes souvenirs ?
Je ne suis pas amère,
Je ne fais pas dans la pleurnicherie
Ecrire, même mal, ma galère,
Reste ma meilleure thérapie

 

MAGALIE

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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 06:13

Ne tombe jamais dans la rue,
Tu te ferais marcher dessus
Pour peu que tu perdes conscience
Tu crèves dans l’indifférence
C’est comme si tu n’existais plus
Ne tombe jamais dans la rue.

Je l’ai vu avec sa béquille
Allongé le long du trottoir
Agoniser en pleine ville
Arrogance , cruel miroir.
Au milieu de tous ces passants,
Qui regardaient, indifférents.

J’ai appelé les pompiers
Quelques instants d’éternité
Conversation enregistrée,
Passez-moi vite les pompiers.
Enfin, au bout du fil, une voix
Demandez-lui son nom, son adresse
Faites-vous aider par les gens.

Près de son corps, j’ai appelé
Je ne fais pas la charité
Juste un peu de votre pitié
C’est bête… J’ai fini par pleurer.
Ne tombe jamais dans la rue
Tu te ferais marcher dessus. .

Marseille 10 Septembre 2009 ….17h
Centre Ville

Magali

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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 06:09










Ma muse, cela m’amuse,
Mon égérie, j’en ris,
Ta muse, ta plume elle use,
Ton égérie, tu écris,
Avec inspiration,
Voici les émotions.


Tout est au féminin,
Mais point de masculin.
Et nous les poétesses,
Sommes dans la détresse.
Qui va guider nos plumes,
Car là, on nous déplume.


Nous sommes dépourvues,
Pour nous, rien de prévu.
Eros et Cupidon,
Facile, comme don.


Poètes depuis Mars,
Vous êtes des comparses,
Poétesses de Vénus,
Pour nous, pas de bonus.


L’égalité des sexes,
Me laisse un peu perplexe,
Car nous sommes vos muses.
Vous êtes sans excuse,


En n’étant rien pour nous,
Mettez-vous à genoux,
Si vous avez envie
De nous, lire la vie

Chrysalide

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18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 11:42





Un mois c’est court, un mois c’est long,
Tu as lutté, nous le savons,
Tu n’as rien dit, que pensais-tu ?
Enfin guérir, le croyais-tu ?

Jamais un mot, trop de silence,
Dans ton regard, déjà l’absence,
Seuls tes sourires et ta tendresse,
Mais à la fin, tant de tristesse.

Quatre semaines, c’est un seul mois,
Puis il faut vivre, vivre sans toi.
Comment peut-on imaginer,
Que tu savais la vérité ?

Est-ce pour ne pas nous alarmer
Que tu as su si bien fermer
Toutes les portes à nos paroles ?
Que tu as pris seul ton envol ?

Nous étions là, auprès de toi,
Pour recevoir entre nos bras,
Ton dernier souffle, dans un soupir,
Tirant un trait sur l’avenir.

Depuis huit ans toutes ces questions,
Auxquelles nul jamais ne répond,
Savais-tu qu’en si peu de temps
Tu laisserais seuls tes enfants ?

Savais-tu qu’au bout du chemin,
Tu finirais par lâcher nos mains ?
Savais-tu qu’en ce matin gris,
Tu allais quitter notre vie ?

Je reste seule avec mes doutes,
Seule pour aller sur cette route,
Que nous devions prendre tous les deux,
Pour rendre les enfants heureux.
Chrysalide 38

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18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 11:37







Quand tu te lèves le matin,
Et que tu frôles encore ma main,
Dans mon regard et mon sourire,
N’oublie jamais, lis l’avenir.

Il sera fait de la tendresse
Que nous avons dans nos promesses,
Dans nos échanges, en ce moment,
N’oublie jamais, d’aimer autant.

Sous la douceur de nos baisers,
Il y aura ce lien sacré,
Qui fera vibrer nos deux coeurs,
N’oublie jamais, tout ce bonheur.

Tu la suivras alors la route,
Sans n’avoir jamais aucun doute.
Je serai là, auprès de toi,
N’oublie jamais, entend ma voix.

Au fil des heures, au fil des jours,
Il se construit tout cet amour,
Pour être présent, et puis futur,
N’oublie jamais, c’est l’aventure.

Il nous faudrait figer l’instant,
Celui de cet amour vibrant,
Qui nous amène au firmament,
N’oublie jamais, et prends le temps.

Alors la lueur dans tes yeux,
Scintillera de tous ses feux,
Et toi te sentant apaisé,
N’oublie jamais, tu es aimé.

Il n’y aura plus une seule larme,
Car je n’userai de mes armes
Que pour te rendre plus heureux,
N’oublie jamais, nous sommes : deux.
Chrysalide 38

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18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 10:53

Le printemps n'a point tant de fleurs,
L'automne tant de raisins meurs,
L'été tant de chaleurs halées,
L'hiver tant de froides gelées,
Ni la mer a tant de poissons,
Ni la Beauce tant de moissons,
Ni la Bretagne tant d'arènes,
Ni l'Auvergne tant de fontaines,
Ni la nuit tant de clairs flambeaux,
Ni les forêts tant de rameaux,
Que je porte au coeur, ma maîtresse,
Pour vous de peine et de tristesse.

Pierre de Ronsard
 

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