BIENVENUE-CHEZ-CAMILLE

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       1Comment appelle-t-on un nain avec une radio sur l’épaule ?

       Un slip

       Car c’est un petit qu’a le son

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     2Comment appelle-t-on un nain qui sort d’une boulangerie avec une baguette sous le bras ?

     Un agenda, car c'est le petit qu'a le pain

     
     

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     3Comment appelle-t-on un nain qui vient d’acheter un étang ?

     Un mollusque

     Car c’est un petit qu’a la mare

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     4Comment appelle-t-on un nain dans un bar ?

     Un supplice

     Car c’est un petit qu’a le verre

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       5Comment appelle-t-on un nain avec une camera ?

     • Un Brulé

     • Car c’est un petit qu’a le ciné.

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     6Comment appelle-t-on un nain qui sort des WC.

     Un expresso

     Car c’est un petit qu’a fait

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       7Comment appelle-t-on un nain qui distribue le courrier ?

     • Un truand

     • Car c’est un nain posteur.

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Amies,

Jouez le jeu, ne lisez qu'une ligne à la fois sans tricher en allant de suite au fond, cela vou gâterai le plaisir.

Ce texte est très ancien, Manue si vous le lisez cela vous lapellera le jour ou vous l'avez tapé avant que je l'emméne. Il a été fait spécialement pour déridr  un momnt de la ournée ou les stagière n'arrivaient pas à se concentrer, alour, elle écoutaient , puis aprés un bon moment, se remettez au travail.

Alors, je compte sur vous ? une ligne à la fois!

je suis encore très fatiguée, mais j'ai l'impression que ce nouvel antibiotique fonctionne bien, j'espère donc bientôt pouvoir revenir, sur vos blog et revenir dans la confrérie des bloggueuses, et taper moi même mon texte, et moi c'est mon Alain qui est aux manettes encre une fois,mais plus pour longtemps, j'espère pour ses 80 ans lui faire un poème tapée moi même

Camillou

Au temps lointain où le Bon Dieu

étudiait au très fond des cieux

notre actuelle mappemonde,

quand le seigneur d'humeur féconde

prit son crayon et sa gomme

il dessina grandeur nature

les plans de chair et d'ossature

de deux êtres : la femme et l'homme.

Mais à l'endroit comme à l'envers

rien n'était assez différent

pour rendre vraiment apparent

le sexe de ces deux bonshommes.

La question se posait en somme :

où est la femme et où est l'homme ?

Dieu se dit : "Sacré nom de... moi,

Il faudrait que j'ajoute à l'un

un tout petit je ne sais quoi

de typiquement masculin,

qu'évitant des formes trompeuses

on puisse dire aux incrédules

d'un seul coup d’œil :

çà c'est un jules

et çà c'est une menteuse."

Dieu se gratta donc l'auréole

pour inventer un décorum

et découvrir une babiole

qu'il mit au mâle en post-scriptum,

un détail propre aux messieurs,

un souffle, un rien...

badin, gracieux, un avantage

personnel

et possédant un charme tel

qu'Eve en le voyant devint pâle.

La chose est une trouvaille,

magique, divine ;

l'homme peut la porter en canaille

tendre piquante, souple ou fine,

en nonchalante ou en bataille,

bref ! en diverses positions

selon son humeur ou son âge.

Mais devant ce superbe ouvrage

le seigneur se dit : Cette invention,

malgré son allure angélique,

ne m'a pas l'ait très catholique ;

il faut que je la baptise."

Et il saisit son goupillon

(mais oui, Mesdames, nous y venons)

cet objet de vos convoitises,

honni soit qui du mal en dise,

il faut l'appeler par son nom :

ce privilège que l'homme a

Qu’Ève n'eut pas

mais qu'elle aima,

cette chose qui vous envoûte,

qui vous met le cœur en déroute,

qui vous attire et vous attache,

c'est bien sur:

LA MOUSTACHE !

Un matin comme les autres à l'hôpital. Il est 7h45. Je mets ma chemise de nuit au linge sale, ensuite j'ai deux options : je me promène avec ma perf sur pied, ou je la décroche. Elle est complètement raplapla, donc je décroche.

Soudain, les deux coups sonores frappés à la porte suivis de l'entrée immédiate d'une aide-soignante (à l'hôpital, frapper à une porte ne signifie pas "est-ce que je peux entrer", mais "J'ENTRE"). Et là j'entends "MAIS QU'EST-CE QUE VOUS FAITES LA-DEDANS TOUTE NUE ?

Aarggh, Big Brother is watching me !!!

"Là-dedans" étant le cabinet de toilette pompeusement rebaptisé "salle de bains" par le personnel, qu'est-ce qu'elle veut donc que j'y fasse toute nue ? Bin, je me lave ! "Mais vous n'avez pas besoin de vous déshabiller" (sic)...

Qu'y avait-il à répondre à part "je ne sais pas si beaucoup de gens se lavent habillés, mois je le fais toute nue"...

Là-dessus elle m'attaque sur la perf (vide) qui pend lamentablement sur le bord du lavabo. Il ne faut pas retirer la perf, c'est l'infirmière qui doit le faire... Je n'ai rien retiré, à part le support qui ne supportait plus rien puisque la perf est vide... Alors j'ai continué ma toilette... toute nue.

J'ai fait hélas plusieurs séjours à l'hôpital au cours de ma vie. De cet acabit-là c'est la seconde que je rencontre. C'est pas beaucoup mais c'est encore trop. Tous les autres ont tous été charmants et même au-delà de leurs attributions... Je pense à ce jeune homme qui m'apportait un croissant quand il prenait son service il y a quatre ans quand je n'arrivais plus à avaler quoi que ce soit... J'ai un grand respect pour le personnel hospitalier... Il y a juste comme ça quelques erreurs d'aiguillage où certaines personnes ne voient que l'once de pouvoir que leur position leur donne... sur des malades. Pas beau. J'ai eu une pensée pour les petits vieux tout seuls sans famille... Comment reçoivent-ils ce genre d'agression ?

Moi je m'en moque. Je suis retournée vers mon coin de fenêtre donner du pain aux pigeons. Ce qui est interdit par la loi, je sais, mais ils sont sympas, eux, les pigeons...

Merci  Clo

Je ne vous oublie pas mes amis! mais ptrop at  poour faire autre chose que d'envoyer des photos padonnez moi