Non je ne me suis pas trompée de jour mais le 9 vous aurez plus de temps pour lire car le 8 c'est le branle bas de combat dansles blogs |
Spécial Journée de la femme |
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« Nous femmes, nous voulons être ce que nous sommes, et ne point être ce qu'on nous fait. » Si cette pensée de la féministe Maria Deraismes date de 1869, elle donne le ton de notre journée de la femme 2012. Car on aura beau répéter chaque année que la condition de la femme n'évolue pas aussi vite qu'il le faudrait, les gestes seront toujours plus efficaces que les mots. Et cela certaines l'ont bien compris. |
Alors cette année: faites la part belle à l'audace et à la différence Et un homme a dit (mon mari): Il faudrait faire tous les jours les journées de la femme et un jour dans l'année la journée des hommes, Alors dit d'un homme de 80 ans qui a toujours été du côté des femmes, cela nous montre qu'il ne sont pas tous matchos!! Merci mon amour mon je le sais que tu respectes les femmes, mais les autres pas. Alors je m'en veux pas si je t'ai cité Par contre dites moi: quelle est la journée idéale pour vous ? Moi c'est un super croissant qu'il est allé acheter pendant que je dormais.des fleurs du jardins dans un vase si=ur la table à côté de la méridienne. Et il n'y nul besoin de mots juste "merci" cela va de sois! pas de resto ou autre sortie, juste nous deux et Typhy qui aura un petit morceau de gâteau car elle aussi c'est une fille adorable. bon et vous mes amies ??? Lâchez vous, racontez! |
Voici des idées données par diffférences personnalités féminines
1) Déjeuner en terrasse avec mes copines à qui leur patron aurait gracieusement offert leur journée (hey journée de la femme oblige !). Puis shopping toutes ensemble avec des soldes exceptionnels. Petit thé chez ma mère, une femme aussi exceptionnelle. Et le soir, dîner en amoureux avec un bon repas cuisiné par mon chéri. Bref, la journée de la femme idéale, ce serait une journée de plaisir, sans contrainte, où tout n'est que douceur."
2)"Ma journée de la femme idéale : Être sereinement moi, une femme, une mère, une prof...
Du temps pour être moi (et pourquoi pas avec mes amies ?) : me faire chouchouter par une esthéticienne, mon coiffeur ou juste un bon bain...
Du temps pour être sa femme : douce, sexy et féminine...
Du temps pour mon enfant : jouer, rire, le câliner...
Du temps pour mes élèves parce que je fais le plus beau métier du monde..."
3) "Je voudrais une seule chose : être écoutée par l'homme de ma vie !!!
Je sais : mars-vénus, blablabla... Mais pour une fois, je rêve qu'il me fasse cette surprise. Sinon de manière plus concrète : être respectée, ce qui à notre époque est de moins en moins réel, même en France. Merci de penser à nous et à nos filles et petites-filles à venir."
"La paix au Proche Orient se fera grâce aux femmes"
Dynamique, bavarde, pragmatique, sans langue de bois : Valérie Hoffenberg est une fonceuse. Et de la détermination, il lui en faudra pour mener à bien sa mission.
Car cette mère de famille a été nommée par le Président de la République "représentante spéciale de la France pour la dimension économique, culturelle, commerciale, éducative et environnementale du processus de paix au Proche Orient".
Pas évident quand on n'est ni diplomate de formation, ni un homme. Mais son atout à elle, justement, c'est le concret, le pragmatisme, l'action plus que l'idéologie. Un crédo inscrit fièrement sur son blog et qui résume tout : "Les grands problèmes se règlent d'abord au quotidien".
Valérie Hoffenberg a donc décidé de faire avancer la paix en travaillant avec les populations et en construisant un quotidien cohérent. Elle a déjà à son actif un parc industriel à Bethléem -créée pour soutenir la création d’entreprises palestiniennes, lutter contre le chômage et favoriser le travail des femmes-, une proposition de Plan de Paix des jeunes -rédigés conjointement par des Israéliens et Palestinien de 15 à 18 ans.
Mais aujourd'hui, c'est des femmes qu'elle souhaite nous parler, car se sont elles qui joueront un rôle fondamental dans les années à venir. Un pari ambitieux, mais qui en vaut la peine.
Parité : Le masculin l'emporte, une règle de grammaire sexiste ?
C’est le dernier cheval de bataille des féministes. Ce 8 mars à 18h a lieu un rassemblement pour dénoncer la règle de grammaire qui veut que dans la langue française, le masculin l’emporte sur le féminin.
Voilà ce qui s’appelle défendre la parité au pied de la lettre ! Après la
disparition du « Mademoiselle » des formulaires administratifs, des
militantes se réunissent place Colette, devant la Comédie française, pour
dénoncer la règle que l’on a tous apprise sur les bancs de l’école.
Elles
demandent l’application de la règle de proximité : ainsi, au lieu du
traditionnel « que les hommes et les femmes soient beaux », on aurait
« que les hommes et les femmes soient belles ». Maître Capello doit se
retourner dans sa tombe !
J’entends d’ici les réactions : les féministes n’ont-elles rien de mieux à
faire ? Franchement, n’y a-t-il pas d’autres combats à mener pour
l’égalité
hommes-femmes ? Quant aux linguistes de la première heure et
autrespuristes, ils risquent d’en avaler leur Bescherelle.
Certes, ce dossier peut sembler anecdotique quand on parle parité. Sauf
que voilà : ce genre
d’automatisme du langage révèle à quel point la domination de l’homme
est ancrée dans l’inconscient collectif. S’est-on déjà interrogé sur l’origine
et le bienfondé de cette règle ? Nous la devons à ce cher Père Dominique
Bouhours. Ce grammairien du XVIIe siècle très inspiré a décrété que le
genre masculin étant le plus noble, il devait prédominer toutes les fois
que le masculin et le féminin se trouvent ensemble. Si l’abrogation de
cette loi ne va pas remédier illico presto aux inégalités salariales et briser
le plafond de verre, n’empêche. Il faut bien commencer quelque part. Et
traiter les maux des femmes par les mots, c’est un bon début, non ?
Alors pour toutes celles et ceux qui pensent que la défense des droits des
femmes passe aussi par une remise à plat de nos représentations et
de nos acquis, rejoignez le mouvement lancé par « L’égalité, c’est pas
sorcier! », « Femmes Solidaires » et la « Ligue de l’enseignement ».
Seront notamment de la partie les écrivaines Isabelle Alonso et Marie
Desplechin. Et si vous hésitez encore, lisez donc cette histoire,
véritable cas d'école, un modèle du genre…
Il était une fois, une jeune femme qui hésitait sur son avenir. Serait-
elle lieutenant de police ou docteur ? Son frère, lui, la voyait plutôt
dans un métier au féminin. Masseuse ou coiffeuse par
exemple.Boulangère, couturière ou infirmière à la rigueur. Elle se
souvint alors du débat sur la parité entre Nicolas, Virginie, Elodie, Julie,
Sophie,Caroline, Emilie et Nathalie. Chacun avait défendu
son point de vueavec vigueur. Les uns et les autres avaient de bons
arguments. Ces garçons et ces filles sont vraiment très intelligents,
pensa-t-elle au sujet de ses amies.
Prise de migraine face à cette question d’orientation, elle sortit
acheter de l’aspirine. "Bonjour
Madame" dit'elle au pharmacien. "Mademoiselle",
corrigea la vieille dame. En sortant, elle aperçut des brunes des
blondes et des rousses assises sur un banc, plongées dans la lecture
de Claudine à l’école
. Tout compte fait, elle vivra de sa plume comme Colette, son auteure
préférée, décida-t-elle. Ses amours passionnées pour la littérature lui
ouvraient des perspectives, celles des pures délices de la rêverie !
Rachida Dati :
Elle se présentera aux législatives au nom de la parité femmes hommes.
Attention ce que je vous écris n'est pas politique, j'ai juste voulu vous montrer quelques femmes féminines et pas féministes, car on peut être femmes et faire des choses aussi bien que les hommes et mêmes mieux grâce à notre sens inné que les hommes n'ont pas, mais ils ont autre chose, nous sommes complémentaires, il faut bien garder cela dans un coin de notre cerveau,de femmes et d hommes!
UN Peu de moi
J'ai fait un métier d'homme, j'avais 32 ans, ce fut dur et les travaux d'hercule à côté c'est du pipi de chat!
Mais si j'ai du ramer beaucoup plus que les hommes, j'ai pu montrer que j'étais aussi capable qu'eux de faire ce que j'aimais, et dans la brousse je me suis retrouvée seule femme blanche "une mam toubab" ils n'en avaient jamais vu, j'ai été acceptée après 3 jours par le chef du village quand il a vu que j'en faisait autant que les autres, et il m'a respectée. Quand il est allé à la ville mettre une croix pour sa signature je me suis dit ( très modestement) que j'y étais pour quelque chose,car après il m'a serré la main à moi pas aux 2 hommes qui m'accompagnaient. Si je vous raconte cela, un petit bout de ma vie,qui m'a marquée pour toujours, c'est que pour moi il n'y a pas de différence, nous sommes tous des êtres humains complémentaires, comme un serrurier est complémentaire au menuisier qui a fait la porte!
Je ferme la paranthèses et vous dis bonne journée mes aminautes
CAMILLE